• J'étais encore un jeune soumis qui n'avait pas tout encore essayé.Maitresse Héra , avait rencontré par petite annonce, que j'avais mis dans un magazine specialisé, un femme dominante , qui aimait pisser sur les soumis et les soumises, et aimait surtout leur pisser dans la bouche .

    Maitresse Héra pensa que cela devait etre interressant de me voir sous le jet de pisse d'une autre Maitresse.

    Nous avons donc eu rendez vous avec cette Maitresse , chez elle. Elle habitait pas trop loin , environ 35 kms.

    Arrives chez la dominantrice, je fus comme il se doit mis a poil , et me mettre au pieds de Maitresse Héra. L'autre Domina, en tenue tres sexy , pas du tout SM, était habillée avec une robe legerement transparente, et on devinait que rien , ni soutien gorge, ni slip, ne venait entravée la jeune femme.

    Son soumis perso , en string, faisait le service. Café pour ma Maitresse, et Thé pour son hote. Elles discutèrent de tout et de rien afin de faire plus ample connaissance .

    Soudain l'autre  soumis apporta une espèce de tabouret percé avec un siege de wc.

    Tout en discutant avec Maitresse, Héra , elle releva sa robe , decouvrant une superbe fente, bien épilée, se dirigea vers moi, me prit pas mon collier, et me fit allonger sur le carrelage froid . Elle mit le siege sur moi et s'assied, ecarte sa fente . Me frappe d'un coup de talon en me disant :

    " ouvre la bouche salope ! et bois bien tout sinon je te fous une raclée avec un ceinturon garni de clous"

    Je m'éxécute, et je vois ses levres vaginales s'ouvrir et un jet de pisse qui me tombe dans la bouche....je bois au risque de m'étouffer, et commence a bander....car la pisse chaude et odorante m'éxcite.

    Voyant ma réactio,Maitresse Héra me chope les couilles et me les tords brusquement. je gémis .

    " Mais cette salope aime ca la pisse d'une autre Maitresse! " et commence a me cravacher les cuisses .

    Y allant de bon coeur, je sens mes cuisses me chauffer et commencer a me bruler.

    L'autre Maitresse a fini de me pisser dans la bouche .

    Elles reprennent leurs discutions et boivent un maximum afin de remplir leur vessies.

    Puis au bout d'une heure environ , ma Maitresse vient me cravacher tres fort  sur les cuisses , et le thorax. Des stries apparaissent.

    Alors ensuite elle va glisser deux trois mots a l'oreille de la Domina.

    Celle ci sourit et me saisit au collier . Nous allons tous les quatre avec l'autre soumis dans la salle de bain. Elle me font allonger dans la baignoire.

    puis toutes les deux se mettent au dessus de moi, et commencent a se carresser. Elles s'embrassent , et en même temps commencent a me pisser sur le corps, mais je crie, car l'acidité de la pisse sur mes cuisses et mon thorax, qui sont striés des coups de cravaches , a sang, me brule comme de l' acide.

    Puis le soumis sur ordre de sa Maitresse me rejoint dans la baignoire et se met en position de 69. Il me chope la queue et commence a me pomper le noeud. Sa bite et ses couilles m'écrasent le visage .

    " allez fait lui un pipe et fais le crachez son jus de couilles aussi " me fait Maitresse Héra.

    Alors j'avale goulument sa bite flasque , et lui malaxe les couilles en meme temps. Il bande vite, et je prends plaisir a lui teter le gland.

    La jouissance ne tarde pas,et je sens sa bite tressauter dans ma bouche, puis devenue dure comme de l'acier , il me crache son foutre chaud a longue giclées.....sous le coup , je me libère aussi et lui donne ma ration de sperme dans sa gueule.

    Ce fut un charmante soirée!

     


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  • Maitresse aime parfois soumettre aussi des femelles en rut.

    Elle en avait trouvé une par l'intermédiaire d'une autre Dominatrice.

    Une bien hard, supportant au max l'extrême, les aiguilles, le fouet a chien, et autres réjouissances costaud .

    Cette salope ne peut jouir que dans la douleur, et cela fait mouiller Maitresse...qui une fois le sexe bien trempée s'essuie avec sa culotte qu'elle m'enfonce dans la bouche .

    Nous avons eu plusieurs séances de dressage ensembles, et je dois dire qu'elle en supporte la garce.

    En général , Maitresse nous travaille ensemble.

    Nus tous les deux cote a cote, Maitresse peut ainsi avoir deux soumis male et femelle a sa disposition.

    Allongés sur le dos , Maitresse me piétine les couilles, pendant qu'elle cravache la salope. Plus Maitresse frappe fort, plus la salope gémit  comme une chienne en chaleur attendant le rut du male ....seulement elle est lesbienne et ne supporte pas la bite ....

    Maitresse frappe sans relâche sur la vulve de la salope qui commence a mouiller, tellement elle mouille que la cravache l'atteignant fais un bruit  de clapotis.

    Elle dresse et lance son bas ventre et sa fente  a la rencontre de la cravache. Cela me fait bander ...Ma bite durcie ...sous la chaussure a haut talons de Maitresse.

    Maitresse alors arrête, la salope gémit ...." Maitresse frappez , frappez, faites moi mal ...." Chose a pas dire a Maitresse qui arrête, et se met a se masturber , la vulve a 10 centimètres de la soumise lesbienne, qui essaye de lécher Maitresse... la bouche grande ouverte .  Maitresse alors  voyant cela , se soulage et la salope boit avec avidité le champagne doré qui s'échappe de notre Divine Domina .

    Je gémis de ne pouvoir avoir un jet  de Maitresse sur mon corps .... Mal m'en prends , un coup de cravache bien placé me ramène a la raison .

    Puis soudain , la salope saisit Maitresse par les fesses et plaque sa bouche sur la Divine fente ...et s'agrippe , malgré que Maitresse lui cravache le dos pour lui faire lacher prise... les stries apparaissent mais la salope continue a lui bouffer le Sexe...

    Alors Maitresse, se saisit d'un téton et lui tord le bout .

    La salope sursaute, et dans un crie de douleur lâche prise. Maitresse s'écarte.

    " Pardon Maitresse" fais la salope.

    Mais Maitresse n'est pas du tout contente.

    "Je voulais baiser avec toi,  et bien tant pis pour toi.

    La salope comprends son erreur ...elle se met a pleurnicher.

    Maitresse se retourne vers moi .

    "Debout le Chien  !"

    Je me redresse , le sexe gorgé de sang car la situation m'a excité.

    "La chienne  position en levrette " fait Maitresse .

    La salope comprends et pleurniche de plus belle...comme moi elle a compris que Maitresse va m'ordonner de la punir en la baisant ....

    La lesbienne se met en position, mais les jambes assez rapprochées.

    " écarte plus " fait Maitresse , "montre nous tes trous a bites"

    La chienne se cambre et je vois sa fente s'ouvrir légèrement ....cela me fait de l'effet , car baiser une lesbienne soumise je l'ai rarement fait .

    Maitresse me saisit la bite   et me donne deux trois coups de branle pour vérifier la dureté de ma queue.

    Le chien prends ton pied , défonce lui le cul a cette salope ...mais tu a 3 minutes pas plus.

    Maitresse se mets devant la chienne et lui coince la tête entres ses cuisses pour qu'elle ne puisse pas bouger ....

    " Vas y " me fait Maitresse. Et tu me préviens quand tu va lâcher ta purée ."

    Je m'approche de la chienne et sans ménagement comme un gros  lubrique , je lui saisi les hanches , pointe ma queue a l'entrée de sa vulve, et d'un coup sec , je m'enfonce dans son vagin ....

    La chienne pousse un cri sous la brutalité de mon entrée.

    Et a grand coups de boutoir , je la monte sans ménagement , sa vulve est serré et son vagin étroit, sous l'effet d'être investit d'une bite , la lesbienne ne pouvant s'empêcher d'avoir des mouvements de rejets.

    j'ai trois minutes pour jouir, alors je n'y vais pas de main morte et les gémissements de la lesbienne me fait encore plus durcir mon mandrin qu'elle doit sentir un maximum... mes couilles frappent sa fente d'une façon violente et régulière. Flop flop flop . .. je m'enfonce au plus profond .. Elle est bonne et chaude et malgré qu'elle aime pas la bite, elle est mouillée, et ma queue coulisse bien dans son fourreau de salope.

    Je commence a gémir et a accélérer mon rythme,  sentant le jus de mes couilles , qui ballotent dans le vide , monter le long de ma queue. Je sens que malgré tout la chienne lesbienne, commence a faire de petits mouvement de bassins et vient a la rencontre de mes coups de boutoirs.

    " Maitresse je viens ..." dis je

    Maitresse me connaissant , ou moment ou je la préviens que je vais cracher me cravache le cul a petits vifs et puissant ...

    Cela me termine, et dans un râle prolongé, je me vide  les burnes  par plusieurs spasmes  qui projette mon sperme dans la conduit de la lesbienne et qui gémit , ne pouvant rien faire d'autre....

    "Maintenant le chien , nettoie moi tes cochonneries."

    Aye, je m'y attendais pas....mais il faut pas rigoler... Bien que je déteste cela, j'obéis , j'écarte la vulve  encore palpitante  de la chienne, et entreprends  de la nettoyer a grands coups de langue sous le regard impassible de Maitresse...

    La chienne quand a elle, a des larmes qui coulent le long de ses joues, car non seulement elle a pas été baisée par Maitresse, mais en plus a subit la bite du male...


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  • Ce récit est fait sur demande de ma Maitresse Vénérée , Maitresse Shana . Ce n'est pas un souvenir SM ou de D/S, mais une aventure normale, car étant sur la route, il m'arrive de réagir en homme « classique »


    Il y a quelques temps, alors que j'étais en déplacement, je me suis arrêté pour manger dans une cafétéria.


    Devant moi dans la file d'attente pour se servir, une jeune fille d'environ 25 ans en jupe, et caraco.
    Je la remarque car il y a peu de jeunes filles en jupe maintenant, les trois quart étant en pantalon sans forme, ce qui fait moins bander les mecs.


    Bref je la mate de dos. Belle cambrure, et beau petit cul. Elle est assez grande, cheveux châtain mi- long. J'ai le temps de mater son cul cat la file avance guère.


    La fille avance tout doucement, et passe devant les fromages. Puis, s'arrête et se retourne a un moment pour regarder de nouveau les fromages. Elle me voit, me regarde et me sourit.


    « Excusez-moi » fait-elle en se penchant devant moi pour prendre un morceau. Dans le mouvement, son caraco baille et je peux voir ses seins, a mon estimation du 95 B. Juste dans les normes que j'aime. Ses seins se balades libres, car elle ne porte pas de soutif.


    En se relavant et me lance : « Merci » et a voix basse : « la vue vous a plu ? »
    - Euh dis-je confus, et bien oui vous avez une jolie poitrine. »


    La file avance et la nana, se mets à onduler de la croupe en avançant.
    Elle passe la caisse ; Je ne fais plus attention, car je paye. Puis je vais m'installer a une table un peu a l'écart, car j'aime être tranquille pour manger. C'est bientôt les vacances et peu de personnes. Je vais pour ouvrir ma bouteille d'eau, que la nana se pointe a ma table.


    « Je peux m'installer près de vous ? Je n'aime pas être seule pour manger. »
    Vu la nana je ne dis pas non. A mon âge, c'est plus très courant.
    Elle s'installe juste en face de moi.


    On commence a manger en parlant de chose et d'autre. J'apprends qu'elle bosse dans la zone commerciale comme secrétaire, qu'elle a 24 ans, célibataire etc etc . Elle me draguerait elle ne ferait pas autrement. Je lui dis que je suis commercial (elle me répond qu'elle l'avait deviné avec mes fringues) et que j'ai 50 balais passé.


    Puis je m'aperçois qu'elle a entre ouvert son caraco et que je peux admirer ses seins. Elle me demande comment je les trouve. Je lui réponds qu'ils me plaisent bien. Elle referme son caraco et viens s'assoir à cote de moi, les jambes bien écartées. Elle remonte sa jupe ....elle porte pas de culotte. Sa vulve est lisse comme un abricot, comme beaucoup de femme et de jeunes fille de maintenant , elle est épilée. La situation m'excite, et je sens des palpitations dans ma queue. Et soudain elle commence a se caresser. Elle frictionne son clitoris :


    « Hum j'adore me masturber en public, cela me fais mouiller un max. Tu aimes ? »


    J'arrive plus a manger et je me gêne pas pour la regarder faire. Elle halète un peu.
    Elle s'enfonce un doigt dans la chatte, puis me le met sous le nez. Son odeur de fruit de mer, sent bon. Elle halète de plus en plus, et je vois sa fente luisante de mouille malmené sous ses doigts.
    Soudain elle me pose la main sur le pantalon. « Tu a fini de manger on fait un tour ? Tu a le temps ?
    - Bien sur je ne suis pas pressé.


    On sort de la cafeteria, et on rejoint ma voiture. J'ai envie de la prendre comme un chien en rut, sans fioriture, bestialement. On monte dans ma voiture ? Je la saisis violement, et l'embrasse pendant qu'elle ouvre son caraco. Ses seins sont dans mes mains, ils sont fermes et moelleux, et ses tétons son dur d'excitation. Je les malaxes a pleine mains, elle gémit de plaisir.
    « Allez on va dans un petit bois a coté » me fait elle.
    Je démarre et pendant quelle me guide, elle a relevé de nouveau sa jupe et se baratte la chatte a grand mouvement.
    Le chemin n'est pas long. On arrive a un petit bois, je rentre dans un chemin ou je continue sur 1 ou 2 km et on arrive dans une clairière.


    Le temps est beau et le soleil est la.


    La nana sort de la voiture, et sans une minute enlève son caraco et sa jupe, elle se retrouve a poil . Elle est super bien foutue. Ses seins sont bien écartés et tiennent bien tous seuls, sont petit ventre rond et accueillant m'attire. Elle a de jolies formes bien pleines.


    Je sors de la voiture. Elle se rapproche de moi et me bouffe la bouche dans un baiser fougueux.
    Elle m'enlève ma cravate et me déboutonne la chemise. Elle me titille les tétons. Je gémis car je suis sensible à cet endroit. Comme je suis un peu enrobé, j'ai moi aussi de petits seins. Elle me les soupèse, et me mordille les bouts. La vache c'est bon.


    « Hum tu sens bon « me dit elle en descendant de mon torse.


    Elle est accroupie, les jambes écartées, la vulve ouverte. Quelle vue...
    Elle s'attaque a mon pantalon et le descends...et là gros moment de surprise pour elle, car je porte une culotte gainante en soie beige . Et pour moi qui avait plus pensé, gros moment de panique et d'humiliation, devant cette jeune inconnue qui veut baiser .Mais cette situation je l'avoue me plait. Comment va-t-elle réagir.


    « Tu porte des sous-vêtements de femme » dit-elle « tu aimes cela ?
    - Oui - répondis-je - et en plus je suis un homme soumis, et ma Maitresse me demande d'en porter ...


    La jeune fille ne se démonte pas et elle me caresse par-dessus la culotte. Mais elle ne trouve rien car comme a mon habitude mes couilles et mon sexe sont comprimés par la gaine.


    « Je vois ,un soumis tu fais dans le SM ? pas trop mon truc,  ... Mais bon chacun son truc....moi  le mien j'aime baiser avec des vieux, des les mecs de ton âge...les jeunes de mon âge vont trop vite et font comme des lapins. Vous au moins les vieux pervers comme toi vous savez prendre le temps et faire jouir une femme et en general vous aimez les jeunettes ! »


    Tout en parlant, elle descend doucement ma culotte de femme et fait jaillir ma queue qui libre commence a gonfler. D'un geste je descends mes couilles qui sont cachés dans mon bas ventre, et qui reprennent naturellement leurs places, ballotant sous la caresse de la fille.


    Elle m'embouche d'un coup sec. Sa bouche chaude est comme une décharge électrique. Elle me suce pendant que ses doigts jouent avec mes boules. Celles-ci durcissent et grossissent.
    Et me pompe lentement savourant ma bite comme une friandise.


    De son autre main, elle s'ouvre la chatte et se branle le clito. Puis elle se relève, jambes toujours écartées. Je m'accroupis a mon tour la tête a hauteur de son sexe. Je ferme les yeux et respire son odeur de femme en chaleur. Elle sent bon. Et la l'avantage d'être un soumis est grand car je sais faire jouir une femme rien qu'avec la bouche, et je sais que je suis doué pour cela.


    Doucement je m'approche de sa vulve palpitante, je l'effleure,la respire la hume en ferment les yeux , la touche en sortant ma langue. La jeune fille sentant mon haleine chaude et mes effleurements frissonne. Et je joue ainsi a la picorer pendant 5 minutes au moins. Je sens que je débande car je me concentre sur ce que je fais. Pour moi le plaisir de la fille pense avec le mien ...pour l'instant. Mes couilles et ma queue ballottent dans le vide, et j'aime cette sensation.


    Et d'un coup sans prévenir, j'embrasse sa fente sexuelle, comme on embrasse a pleine bouche...j'enfonce ma langue au plus profond, et je commence a lui faire l'amour pas avec ma queue, mais avec ma langue. Elle gémit et ploie sous l'intensité de ma caresse.


    Elle se laisse couler à terre et s'allonge, les cuisses grandes ouverte. Je continue à lui bouffer la chatte. Elle frissonne, se cambre, veut enlever ma tête d'entre ses cuisse. Je résiste et continue mon travaille de la langue sur son clito, ses grandes lèvres, ses petites lèvres, et dans son vagin.


    Elle est bonne, elle sent bon, et sa chatte lisse comme une jeune pucelle me procure d'intenses sensations. Je la lape comme un chien. Soudain elle jouit sous ma langue, et ne peut retenir un feulement de femelle en chaleur. Je sens sa mouille parfumée et odorante coulée sous l'orgasme dans sa vulve. Je n'en perds pas une goutte... L'entendre, la sentir gesticuler et la sentir orgasmer me fait rebander dur ...Et je continue toujours a la sucer, lécher, mordiller, de l'embrasser a bouche que veux-tu.

    Elle feule de plus en plus fort, et un tremblement la saisit quand elle jouit de nouveau, et la, elle lâche un jet de pisse sous l'intensité de son plaisir. Je prends son jet de pisse avec délectation et je sens ma bite dure bouger dans le vide. Je suis plus qu'un animal sans tabou, cherchant un plaisir intense
    Je remonte, je l'embrasse et lui fait partager un peu de son champagne doré et de sa mouille qu'elle ma lâchée.


    Je me retrouve en position, le gland de ma bite frôle l'entrée de sa caverne ouverte.
    Elle ouvre les yeux, je la regarde profondément tout en lui enfilant ma barre sexuel dans son ventre...doucement un peu puis je retire, puis je renfonce ma queue à moitié. Je sens qu'elle écarte encore plus les jambes pour m'accueillir au fond d'elle.


    Alors en poussant un cri, sauvagement, après mettre retiré complètement, Je m'enfonce d'un coup sec au plus profond de son ventre et commence a la limer. Je ne cherche plus rien je lime comme une bête, ce coup ci ne cherchant que mon plaisir. Je grogne , comme le chien pervers que je suis.
    Elle est bonne, chaude et humide. Mes coups de reins la défonce avec ma queue comme un bélier.
    Et la seulement elle commence a parler.
    « Vas y vieux pervers baise ta femelle, plante moi,. Salaud tu n'a pas honte de baiser une nana qui pourrait être ta fille. ?
    - Non je n'ai pas honte salope, tu es bonne, et j'aime les jeunes salope comme toi avec un trou a bite accueillant..
    - Vas y branle toi en moi crache ton jus de vieux cochon »


    J'aime ce langage pendant ce type de situation... je sens ma bite tressauter et l'orgasme venir.
    Elle le sens aussi la jeunette. Elle me chope les couilles qui sont comme de la pierre et me les malaxe .Cela me finit. Dans un râle, je me vide en elle.....ma semence est éjectée dans son antre secret.


    Je me retire, je me relève, elle s'assoit, me prends la taille et enfourne ma bite encore gluante de sperme et de sa mouille mélangé, et me nettoie avec sa langue.


    Je souffle cela a été un très bon moment je suis vidé.


    La nana s'accroupit et se met à pisser devant moi. Alors ensuite quand elle se relève, je fais comme elle, je m'accroupis, et je vais pour la lécher, elle a un mouvement de recul.
    « Laisse moi te nettoyer avec ma langue, pour moi c'est une obligation et un plaisir c'est le soumis qui ressort, je dois le faire.»


    Et le la lèche afin de laver sa vulve des dernières gouttes odorante de sa pisse et de mon sperme.

    La suite ?


    Je l'ai déposée au centre commercial et j'ai repris ma route.



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  • Hier, Maitresse Shana  et Maitresse Héra ont déjeuné  ensemble.

    Mais la n'est pas mon propos.

    Maitresse Shana m'a donc demandé d'écrire un souvenir.

     

    Je suis devant la table  de l'hôtel ou je suis, en caraco de dentelles et en culotte de soie comme une salope que je suis.

    Pourquoi j'écris cela ? Pour amener  mon souvenir, mon attirance  envers les culottes en dentelles et pourquoi je  porte des sous-vêtements de femme.

     

    Vers douze ans , je suis tombé sur une revue au combien neutre, un catalogue de vente par correspondance qui appartenait a ma mère.

     

    Je le prends en main et l'ouvre. Je " tombe "sur des femmes en charmantes tenues de nuit, intrigué et curieux, je continue a le feuilleter , et tombe sur des femmes en gaines, je continue et vois ensuite  ensembles culottes et  soutien-gorge . Cela m'excite et je sens ma queue bouger dans ma culotte...je continue a feuilleter et  vois des femmes en culottes de dentelles ou de coton . Alors la ma petite  bite se dresse dans mon short..

     

    Des lors une obsession, trouver des culottes en " vrai". Les toucher , les palper.

    L'occasion m'en sera fournie quelque mois plus tard . Ma mère a reçu en pension pour les grandes vacances la fille d'une de ses amies.

    Elle a 2 ans de plus que moi. Elle est pas terrible, blonde,  elle s'appelle Catherine et je ne fais pas trop attention a elle tout du moins au début. Puis nous devons partir tous en maison de vacances, et la nous devons coucher dans la même chambre.

    Ma mère  a juste mis un espèce de paravent entre le lit  de Catherine et le mien. Je ne peux m'empêcher des le premier soir de l'épier, et d'essayer de la voir a poil.

    Elle se méfie pas du tout. Par une interstice je la vois se déshabiller, et la vois nue le temps qu'elle enfile sa chemise de nuit. Elle a déjà une paire de seins en forme de poire, et son pubis déjà fourni d'une toison, mais comme elle est blonde, j'entrevois sa fente sexuelle.

    Je me touche et commence a me branler ,excité .  Ma queue durcit , mais je dois arrêter, le lit fais trop de bruit, et Catherine me demande pourquoi je fais du bruit.

    Alors j'attends qu'elle s'endorme , et doucement dans le noir, pris pas une soudaine envie, je cherche sa culotte qui se trouve sur une chaise a coté des lits. J'arrive a m'en saisir. Je me lève, et me dirige dans le jardin.

    La derrière un bosquet, je descends ma culotte de pyjama  et me touche. Je caresse la culotte , la trouve douce et soyeuse, plus agréable que ma culotte de garçon. Puis instinctivement je porte la culotte a mon nez et en respire l'odeur. Ouahhhh Le fumet qui s'en dégage me fait  un drôle d'effet , et ma queue se dresse comme un i. Je me branle rapidement et un spasme me prends et comme une boule de feu me traverse les reins. C'est la première fois que cela me fait aussi fort. Puis épuisé je retourne me coucher. Heureux et satisfait.

    Puis je prends l'habitude. Tous les soirs j'attends que Catherine s'endorme pour choper sa culotte, la toucher, la respirer, et me branler.  Un soir je trouve son odeur plus forte et la culotte humide . Je m'enivre de cette senteur  nouvelle et embrasse et lèche le fond de la culotte et après mettre astiqué la queue, j'enfile la culotte .Je trouve cela vraiment doux et excitant , je revins pour me coucher. Au moment ou je pénètre dans la chambre, la lumière  s'allume, et je vois Catherine debout qui m'attend.

    En culotte de fille je reste comme un con. Et je rougis en baissant la tête. Elle s'avance et me chope la bite et les couilles a travers "sa" culotte . Je me plie sous la douleur, douleur qui incroyable me fait une sensation de chaleur dans le bas ventre.

    "Tu sais, je sais ce que tu fais avec ma culotte je t'observe depuis le premier soir. Tu la renifle en te branlant ton vermicelle...Tu as aimé ce soir? j'ai fais un peu pipi dedans .Cela sent bon ?tu aime?...et la tu aime la porter ma culotte?  Allez enlève la.

     - Mais je .

     - Enlèves je te dis.

    Ne bougeant pas, elle me file une gifle, et me baisse la culotte d'un coup. Je finis par l'ôter, et me retrouve cul nu devant Catherine. Ma bite flasque et mes petites couilles ballottent .elle les regardent et ce moque de moi.

    " ben j'ai vu des garçons qui sont plus gros que toi, On dirait  une tige de fleur flétrit ta quéquette.

    Elle reprends la culotte, et sans un regard pour moi va se recoucher.

    " Au fait  la prochaine fois que tu me regarde quand je me déshabille je te claque. Tu auras le droit que si je veux. Et tu m'obéis  sinon je dis tout a ta mère" fait elle en éteignant la lumière.

    Humilié, et peureux de savoir qu'elle rapporter a ma mère cette histoire, je suis néanmoins  heureux d'être a sa merci, je vais me recoucher . Depuis toujours j'aime que les filles me toisent et me commandent..mais a cette époque je savait pas ce que cela s'appelait des Dominatrices.

     

    Le lendemain matin, Catherine me secoue, et me réveille. Je vois alors qu'elle me tend un panty en nylon et dentelle.

    "Essaye " me fait elle.

    Je prends le sous vêtement. La texture est très douce et me fais des frissons.

    Je l'enfile. Il me va. Sensation vertigineuse de la douceur du nylon sur mes fesses et mes parties intimes .

    Elle me fait mettre mon pantalon dessus.

    Comme d'habitude elle va rejoindre les copines qu'elle s'est faite mais ce jour la elle m'ordonne de la suivre.

    Je veux protester, mais je comprends vite qu'il ne faut pas.

    Et puis je suis curieux de savoir ou elle et ses copines vont.

    Elle m'emmène dans les bois dans une cabane que les filles ont fait .

    Nous arrivons les premiers .

    Puis les filles arrivent elles sont 3 du même âge que Catherine. Je les connais toutes.

    Surprises de me voir la, Catherine leur dit que je suis son esclave et dois la servir jusqu'à la fin des vacances. Je rougis de honte mais comme d'habitude de plaisir mélangé.

    Mais ma honte fut totale quand Catherine m'ordonne de me mettre en panty. Je m'exécute et me mets torse nu en panty. Je dois rester comme cela.

    Les filles se moque de moi et me traite de fille. Mais je vois dans leurs regards qu'elles sont curieuses.

    L'une s'approche et me caresse les fesses a travers le tissu. J'avoue que j'ai du mal a me contenir.

    Puis les vacances avançant, Catherine me fait mettre un soutien gorge ou elle mets une paire de chaussette pour faire plus vrai et une robe en nylon. Et je dois les servir ainsi quand elles font pique nique ou gouter, aller leur cueillir des cerises, ou ramasser des fraises des bois.

    Et quand elle est satisfaite de moi, le soir dans la chambre, Catherine me regardant droit dans les yeux, se déshabille devant moi , enlève sa culotte qui je le sais sera humide de quelques gouttes de son pipi... A ce moment la je dois me mettre tout nu pour elle. Mons sexe est déjà dressé, mon  gland sort du prépuce. Puis Catherine vient vers moi ,  prends sa culotte, s'essuie sa fente, et me fait respirer l'endroit ou sa vulve a été en contact avec le tissu, et a laissé les traces de pipi. Son odeur m'enivre pendant que son autre main, s'empare de ma queue , et  me malaxe  les couilles sans ménagement. Dans ces instants une complicité incroyable nous lie, et yeux dans les yeux , elle me murmure " Vas-y esclave, respire bien mon odeur...l'odeur de ta Reine....prends ton plaisir." Et elle me branle jusqu'à la jouissance. Mais a l'époque je ne produisait pas encore  de semence..jouissance sèche, mais apaisante.

     

    Voila pourquoi j'aime porter les sous-vêtements féminins, a la fois pour leur douceur, mais aussi pour me sentir a la merci des femmes, étant ainsi rabaisser et leur esclave. Et aussi pour tous ces doux souvenirs de jeunesse.

     

    Plus tard, étant adulte et étant marié, j'ai arrêté un peu, mais ma femme qui devint ma Dominatrice

    (Maitresse Hera) me surprit un jour alors que j'étais en sous vêtements féminins.  Elle  su alors profiter de la chose, et affiner mes tenues en me faisant porter des bas et des portes jarretelles, des caracos, et m'a obligé de les  porter en dessous de mes costumes .

     

    Et en  sentant cette douceur ,mon coté féminin ressort, je me sens comme une femelle .

     

    Pour faire encore plus soumis, car un soumis n'est pas un homme digne de ce nom , mais plutôt un chien obéissant, elle m'a obligé a faire en sorte que mes attributs masculins  soient le moins possible visibles.

    J'ai donc appris a mettre mes culottes de dentelles ou de soie, en coinçant ma bite et en rentrant mes testicules dans le bas ventre et avoir ainsi un bas ventre plus plat pour ressembler aux femmes. J 'ai appris aussi ainsi a ne pas bander et a rester mou pour ne pas faire comme un homme. Et de ce fait mes testicules âpres une journée dans mon bas ventre dans la culotte, sont petites et rabougries, pas comme un homme ayant de belles couilles bien pleines.

     

    Ainsi, lorsque ma Maitresse  Héra me faisait mettre en bas, porte jarretelle et dessous féminins, pendant qu'elle baisait avec un amant , me faisait comprendre ainsi que je n'étais vraiment pas digne de porte le nom d'homme, mais son esclave, son eunuque qui ne peut et ne doit prendre sont plaisir qu'en fonction des ses ordres.

     

    Actuellement, je suis toujours en dessous féminins, et je demande souvent ce que je dois porter a   Maitresse Shana ( Culotte en soie, culotte gainante ou en dentelle et leur couleur) afin qu'elle puisse me trouver comme elle le désire.

     

    En plus  les culottes gainantes sont comme une espèce de ceinture de chasteté, car elles m'empêchent de grossir et de bander comme un homme, et de rester un chien soumis au désir de  Maitresse Shana bite flasque qui ne grossit que si elle le désire, qui ne crache sa semence que si Elle le veut;

     

    Et je sais que je ne suis pas le seul homme, soumis ou nona aimer porter des sous vêtements féminins, sans être forcement un travesti.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Suite a ma première honte, Martine avait promis de " jouer" avec moi . Mais le temps passa environ 3 ans . Martine allait sur ses 11ans et mois mes 9 ans .

    Et puis un beau jour ...je vis Martine et ses sœurs a la sortie , qui semblaient attendre quelque chose, ou quelqu'un...

    A l'époque , si les heures de classe étaient les mêmes pour tous, il y avait l'école des filles et l'école des garçons. La mixité existait pas.

    Martine , ses sœurs allaient et rentraient de l'école avec des copines et moi avec des copains, chacun de son coté .

    Il faut dire que depuis mon humiliation, je n'osais plus aller les voir.

    Martine me voyant alors m'appela... C'est moi que les filles attendaient.

    "Cs, vient ici tout de suite..."

    Sentant qu'il valait mieux que j'y aille, je me dirigeait vers Martine. Mes copains me regardèrent .

    " Tu restes pas avec nous ? On va passer par le bois du fond de Bosso pour cueillir des noisettes ?
    - Nan merci ...."

    Je filais vers les filles.

    Arrivé près d'elles, Martine me tendit son sac.
    "Tiens porte moi cela ...
    - Pourquoi ? Je suis pas ta bonne ?" Martine vint se coller contre moi et me glissa à l'oreille :
    "Tu veux pas jouer avec moi ? Je t'ai dis un jour il y a longtemps que l'on allait s'amuser tous les deux....et si tu m'écoutes et que tu m'obéis je te récompenserai ... et pis si tu veux pas c'est pareil..je dirai a ta grand-mère que tu nous a encore espionner ...."
    A ces derniers mot je compris que Martine me tenait .Je n'osais alors répliquer ...et m'emparais de son sac .

    Nous rentrâmes a la maison, les filles devant et moi derrière. Je dus m'avouer que cela me plaisait.

    J'allai chercher mon gouter et revint dehors . Martine était assise sur les marches du perron .

    "mets toi la " me fit elle en me montrant du doigt un emplacement au bas du perron. Je m'assis en tailleur et commençai a manger mon gouter.

    " cs , regarde moi ...
    - Oui
    - Je veux que tu sois mon serviteur. Tu feras tout ce que je dis ou te demande.
    - Euh mais ...
    - Pas de mais ...
    Je baissai les yeux , un peu inquiet ... et c'est la que je vis que martine qui était assise plus haut que moi avait les jambes a hauteur de ma tête.

    Quel fut pas ma stupeur de voir qu'elle fermait et ouvrait ses cuisses dans un mouvement régulier, et que de ma position je voyais sous sa jupe et sa culotte de coton blanc.

    Un phénomène se reproduisit en moi , une espèce de chaleur m'envahit, je me sentis rougir, mais ne pouvais détacher mes yeux de cet endroit secret que Martine dévoilait.

    Martine s'en aperçut.

    " t'es tout rouge ? t'es pas bien ?
    -non cela va " dis-je avec difficulté.

    Puis Martine vit ou allait mon regard .

    " Cochon mais tu regarde sous mes jupes ?" et en même temps elle remonta sa jupe un peu plus et resta les cuisses ouvertes . Ses yeux brillaient et elle souriait...
    Cette vue me fis avoir une réaction dans ma culotte et je sentis mon zizi bouger et durcir . Cela m'arrivait quand je me réveillais le matin , mais jamais pour un truc pareil.

    Je me trémoussais car j'étais dans une position inconfortable . Me voyant bouger ainsi Martine me demanda ce que j'avais .

    " Ben rien ..
    - Si dis moi le , tu dois tout me dire et m'obéir sinon ....
    - Ben j'ai mon zizi qui gonfle .
    - Quoi ? Me fit elle
    - Ben oui il est tout raide .

    Et de lui dire me fit encore plus rougir de confusion, mais je sentais aussi mon sexe durcir encor plus.

    " Viens ici "me fit elle

    Je me levai et arrivai a sa hauteur .

    Elle regarda a l'endroit de mon sexe , puis se leva , me prit pas la main et me conduisis derrière la maison dans un recoin . Elle mit sa main sur moi . Je sentis la pression sur mon petit bout tout dur /

    " Mais c'est vrai c'est tout dur ... baisse ta culotte je veux voir .

    Honteux mais content j'obéis a Martine . Le fait d'être obliger de lui obéir m'enlève le moindre remords .

    Je baisse vivement mon short ( a l'époque pas de pantalon ,) maintenu par une ceinture elastique.

    Et ensuite mon slip " kangourou".

    Mon minuscule sexe sort alors de sa cachette et se dresse vers le ciel .

    Martine les yeux luisants s'approche et le saisi.

    "Il est vraiment tout dur " dit elle " j'avais jamais vu cela ...et c'est a cause de moi que tu est comme cela ? "
    - Oui "

    Le contact de sa main sur mon zizi me procure un immense bonheur, physique et mental.

    Martine me caresse, et presque instinctivement se met a me masturber.

    Je frémis un peu et plie des jambes .

    " Ben mon salaud tu a l'air d'aimer cela "

    Martine alors se penche pour voir de plus près ma bite.

    Elle aussi est rouge d'excitation . Je la vois alors glisser une main sous ses jupes. Je ne sais ce qu'elle fait, mais la sort , la porte a son nez et la respire , puis me la mets sous mon nez ...

    "sent " me fait elle en me mettant sa main sous le nez. Une drôle d'odeur s'en dégage. Je hume et m'aperçois que j'aime cette odeur . Je lui saisi la main pour la lécher. d'un geste brusque elle la retire et me mets une claque. Et comble de l'horreur , je m'aperçois que j'ai apprécié sa baffe .

    " Vraiment pire qu'un cochon, tu renifle comme un chien ..tiens je vais t'appeler mon chien ...Tiens viens renifler la " et joignant le geste a la parole , elle me fait mettre a genoux, soulève sa jupe et pousse ma tête contre sa fente a travers le tissu de sa culotte en coton . Une odeur forte de marée s'en dégage et je ferme les yeux pour savourer davantage l'odeur un peu épicée.

    - Martine ou est tu ?

    Sa mère la cherche, Martine me repousse violement , rabat sa jupe et part en courant .

    Je reste la comme un idiot, mon short et mon slip baissés et mon zizi encore tout tendu vers le ciel . Je relève machinalement la tête et vois a la fenêtre de l'étage une des sœurs de Martine qui se moque de moi ouvertement . Je baisse la tête
    Je remonte mon short et court vite chez ma grand-mère .
    Le soir dans mon lit je ne peu m'empêcher de repenser a cela, et du coup ma bite a ce souvenir durcit et se redresse sous les draps.

    Et la je me touche sans vraiment savoir et sans vraiment me masturber, le plaisir étant surtout mental ...



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