• Voici quelques tortures  des parties genitales

    La torture des organes génitaux masculins (ou plus familièrement torture de couilles) (traduction de l'anglais cock and ball torture abrégé en CBT) désigne un ensemble de procédés appliqués en particulier par les adeptes de BDSM ,qu'il s'agisse d'agressions physiques par brûlures infligées aux organes génitaux masculins par de la cire chaude (généralement obtenue à partir d'une bougie), de « fessée » administrée aux mêmes organes, d'écrasement des testicules pouvant aller jusqu'à leur rupture[réf. nécessaire], flagellation des parties génitales, sondage urétral, électro-stimulation érotique voire l'électro-torture, chatouillements, coups de pieds sur les testicules, etc. Comme toutes tortures, la liste n'est pas exhaustive. Cet article présente les tortures les plus connues ainsi qu'un cas particulier qui s'y rattache : le tamakeri japonais.

    D'une pratique régulière ou d'une utilisation dans le cadre d'une punition, ces supplices ne sont pas l'apanage du sadomasochisme. Au Moyen Âge, certaines tortures visaient les organes génitaux, que ce soit lors des interrogatoires de l'Inquisition ou les condamnations à mort pour trahison en Angleterre avec l'émasculation selon le rite du « Hanged, drawn and quartered ».[Passage problématique][précision nécessaire]

    Ces pratiques qui consistent à tourmenter le scrotum et les testicules d'un partenaire, sont généralement associées à un jouet sexuel. Sous ce terme, on peut en fait distinguer des pratiques anodines qui provoquent une douleur assez légère éventuellement associée à une excitation considérée comme agréable et la torture proprement dite, qui provoque d’intenses douleurs.

    Le Tamakeri

    Le tamakeri (玉蹴り)(lit. coups de pieds dans les couilles) est une forme de fétichisme sexuel qui émaille les films pornographiques et les films d'horreur japonais (ex : le film Busted Balls). Le partenaire dominant (en général une femme) montre sa supériorité en tenant les testicules du partenaire dominé à sa merci dans le but de lui faire exécuter ses instructions. Elle lui boxe les testicules comme elle le ferait d'un punching ball, et/ou lui expédie coups de pied et/ou de genoux sur les organes génitaux. Elle peut aussi saisir les testicules et les écraser douloureusement entre ses doigts et/ou leur faire effectuer un certain nombre de tours de spire.

    Erika Nagaï, une actrice spécialisée du genre, se sert de ses connaissances en arts martiaux pour envoyer des coups de genoux et/ou des coups de pieds dans les testicules de ses partenaires.

    Les vidéos de tamakeri satisfont le penchant qu'ont certains hommes pour le sadisme à l'égard de la gent masculine. L'idée d'avoir leurs propres testicules pressés, écrasés et tordus les stimulent sexuellement (tout au moins tant qu'il s'agit d'un jeu choisi). Le tamakeri, exécuté dans le cadre de films pornographiques, est suivi par des scènes de sexe, ce qui implique que l'acteur soit exceptionnellement viril.

    Ce genre plaît surtout aux hommes mais aussi à certaines femmes au Japon et ailleurs. Les actrices de ce genre de films sont de jeunes mannequins au chômage ou bien des actrices confirmées qui n'interprètent qu'occasionnellement de tels rôles comme c'est le cas, par exemple, d'Erika Nagaï qui en a fait une spécialité. Les acteurs sont, en revanche, souvent d'authentiques masochistes candidats pour tourner dans ce type de vidéos.

    Les différentes tortures

    Les ballstretchers

    Littéralement « étireur de couilles », ce sont généralement des anneaux en métal, cuir, latex ou matières plastiques. Ils se positionnent à la base du scrotum qu'ils permettent d'étirer d'une distance de 2 à 9 cm.

    Certains de ces ballstretchers sont fixés avec des vis, ce qui intensifie la douleur. Ils peuvent également être associés à des poids (quelques centaines de grammes à 2 kg[réf. nécessaire]) qui pèseront sur les testicules1.

    Les séparateurs

    Généralement associés à un cockring, ils sont formés d'anneaux se plaçant de telle façon qu'une pièce métallique s'intercale entre les deux testicules, séparant ainsi le scrotum en deux parties distinctes.

    Les parachutes

    Ce sont des cônes de cuir (le plus souvent), de métal ou de latex qui s'accrochent à la base du scrotum via des lanières. Ils comportent de trois à quatre courtes chaines qui peuvent servir de points d'attache à des poids. Sa ressemblance avec le parachute aérien est évidente et l'origine du nom ne l'est pas moins. Les parachutes sont essentiellement décoratifs mais peuvent également être garnis de pointes sur leur face en regard des bourses.

    Utilisé dans le cadre d'une relation intime au sein d'un BDSM, le parachute exerce une traction constante et un effet de pression sur les testicules de celui qui le porte. Des poids plus ou moins lourds peuvent y être suspendus. Ils sont particulièrement lourds pendant le bondage et seront plus légers lorsque le dominé est libre de ses mouvements. Dans ce cas, le balancement d'un poids trop lourd pourrait limiter certains mouvements de l'homme en même temps qu'il procure un stimulus visuel du partenaire dominant.

    La cire chaude

    Le cire chaude peut être utilisée afin de brûler et d'épiler le scrotum. Elle provient le plus souvent d'une bougie en train de se consumer mais peut aussi être obtenue à l'aide d'appareils électriques destinés à l'épilation. Il existe à cette fin des cires dont le point de fusion est (relativement) bas pour que le supplice puisse se dérouler dans des conditions optimales de sécurité.

    L'infusion du scrotum

    Consiste à plonger les bourses dans un petit récipient contenant de l'eau chauffée à une température élevée. Elle est censée provoquer une stérilité temporaire, les spermatozoïdes ne résistant pas à une chaleur excessive.

    L'électro-torture

    Elle se pratique en appliquant des électrodes sur le scrotum, ou autour de la verge, de façon à délivrer des décharges électriques d'intensité variable.

    Les aiguilles


     

    A pratiquer avec precaution et avec une higiène absolu

    Les nuts-crackers


    Littéralement « casse-noix » : elles permettent d'exercer de fortes pressions sur les bourses. Il peut s'agir de deux planchettes reliées par quatre vis qu'on peut serrer ou de dispositifs plus complexes tels que des tubes métalliques comportant en leur centre une grande vis soudée à son sommet à une pièce métallique en contact avec les bourses.

    Des poids


    De quelques centaines de grammes à 2 kg, ils sont souvent utilisés en association avec les ballstretchers et les parachutes.

    Le humbler


     

    Du verbe anglais to humble (humilier ou plus littéralement : rendre humble) il est également rattaché à la torture de couilles.

    Il est constitué d'un ball cuff (« menotte à couilles ») qui se ferme sur la base du scrotum et monté au centre d'une barre qui passe derrière les cuisses à la base des fesses. Le ball cuff ferme à l'aide d'une clef. Qui ne la possède pas ne peut pas retirer l'appareil. Le humbler oblige son porteur à fléchir les jambes et à ramper à genoux, étant donné que tenter de se redresser provoquerait une traction sur le scrotum qui constituerait une douleur considérable. En raison de la force des muscles des membres inférieurs, le humbler peut provoquer des lésions irréversibles et doit être utilisé avec précaution. Des lésions peuvent également être causées par un port prolongé.

    Le testicle cuff


    C'est une variante du précédent. Il comporte, en plus du ball cuff, un anneau qui enserre la base du pénis. Il ferme également à clef.

    Certaines personnes aiment posséder, d'autres être possédés. Le port du testicle cuff donne à celui qui le porte la sensation d'appartenir à son partenaire. De plus, il procure un certain degré d'humiliation qui lui procure une excitation sexuelle. Au total, les cuffs peuvent éventuellement faire partie du fétichisme sexuel de celui qui le porte aussi bien que de son partenaire.

    L'orgasme forcé

    C'est une torture du pénis. Il s'agit, dans le milieu du BDSM, d'un jeu dans lequel le partenaire dominant procure un orgasme au partenaire soumis alors que celui-ci tente de retarder son éjaculation le plus longtemps possible.

    En général, le dominant continue à masturber le partenaire soumis après l'orgasme, ce qui s'avère désagréable et même douloureux en raison de la sensibilité du pénis pendant la période réfractaire. Cependant, l'excitation du soumis est due en partie à cette période douloureuse qu'il doit surmonter pour jouir derechef. Un autre aspect souvent jugé excitant par les adeptes de cette pratique est que le soumis n'a pas de contrôle pour décider quand et comment il éjaculera.

    Il est également fréquent d'utiliser l'orgasme forcé comme préparation à l'orgasme interdit : le soumis est forcé de jouir de nombreuses fois pendant quelques jours afin de provoquer une sorte d'addiction puis la phase d'orgasme interdit commence et il ne lui est plus permis de jouir pendant une période plus ou moins longue.

    Le Numbing

    Cette pratique consiste à engourdir partiellement ou intégralement la verge à l'aide de pommades anesthésiantes. En y associant le port d'un cockring, l'homme peut garder son érection mais n'éprouve plus de stimulation ni de plaisir lors du rapport sexuel.

    Il peut ainsi rester en érection très longtemps, ce qui prolonge considérablement la pénétration.

    C'est une pratique très prisée pour la frustration sexuelle qu'elle procure à l'homme. Elle est souvent utilisée en complément du port d'une cage de chasteté masculine.

    Brimades scolaires assimilables à la torture des organes génitaux

    • Le wedgie est une pratique en vogue au États-Unis qui consiste à tirer les sous-vêtement de la victime de façon à lui écraser les testicules;
    • Le Happy Corner, très pratiqué sur les campus universitaires en Chine et à Taïwan à consiste à choquer contre un poteau les parties génitales de la victime.

     

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  • Il y a peu, Maîtresse Hera me convoqua pour me dire qu'elle ferait une soirée d'initiation à la soumission, sur une jeune femme d'environ 25 ans, qui ne savait pas si elle était dominatrice, soumises, ou switch.

    Je me préparais donc pour cette soirée, sachant que pour la partie dominatrice de l'initiation, c'est moi qui en ferai les frais.

    Arrivé 20:00, la jeune femme arrive. Je lui ouvre la porte. Je la laisse passer subjugué  Elle est de style gothique, maquillée et vêtue de noir , robe et corset lacé en dentelle noire.Environ 1 m 70, bien charpentée, brune, les yeux marron, un piercing au sourcil et sur la lèvre supérieure, les hanches larges et la poitrine haute, un regard volontaire, et une bouche divine. Bref une jeune femme bandante qui somme toute, dominatrice ou soumise, est très belle. Si elle devient Domina, j’espère un jour souffrir entre ses mains

    Évidemment pour l'accueillir, et j'étais nu avec mon collier de chien autour du cou. Elle me regarde de haut en bas et de bas en haut, le regard lorgnant au passage sur mon sexe et mes burnes épilées. Je l'accompagne vers ma Maîtresse. Celle-ci ne tourne pas autour du pot :

     «Cs , déshabille la. »

    Je m'approche d'elle, lui dégrafe et lui enlève son corset, libérant ainsi deux beaux seins aux tétons déjà bandés, puis me mets à ses genoux, pour lui faire glisser sa jupe, et lui retirer son String.

    En lui glissant son string, mon visage s’approche de sa fente et la, son odeur corporelle me grise. J’ai envie de mettre mon nez et ma langue dans cette vulve odorante d’excitation et si bien épilée, lisse a la perfection. Maitresse Hera voit que je m’approche trop de la boite a pisse de la jeune femme, elle me file un coup de cravache dans le dos, ce qui refreine mes ardeurs. Je remarque son piercing au nombril, et les divers tatouages qu'elle a.

     Je lui mis un bandeau sur les yeux, puis je me recule, et ma Maîtresse prend les choses en main.

    Elle la fit se mettre penchée en avant, afin de bien dégager son cul. Puis Maîtresse prend alors sa cravache et entreprend un travail alternatif de caresse et de coups de cravache, qui, chez un soumis ou une soumise provoque jouissance mentale et physique. Douleur et douceur se succédant, cocktail divin en bdsm

    Maîtresse Hera commence par lui caresser les seins tout en se collant derrière elle en lui parlant doucement à l'oreille. Puis elle se recule et commence à la cravacher sur les fesses. Une caresse, un coup de cravache, une caresse un coup de cravache. J'entends la jeune femme qui commence a haleter au bout de quelques minutes, puis qui finit par gémir, à la fois de plaisir et de douleur, Maîtresse Hera appuis alors un peu plus ses coups de cravache au fur et à mesure.

    Puis elle la fait s’allongée sur la table, et je dois me mettre à

     

    Puis vint autour des seins d'être cravacher. Maitresse reprend le système caresse- coup, caresse- coup à fin de l'exciter et de lui faire monter progressivement la douleur et la jouissance. C'est alors, comme maîtresse m'ordonna de la prendre par la chatte pendant qu'elle travaillerait les seins de la jeune femme. Mais je devais la ramoner doucement et en profondeur.

    La bite raide de désir devant cette vulve ouverte, je me plaçai entre ses cuisses toujours écartées, et pendant que maîtresse Hera lui balançait des jets de cire bouillante sur les mamelons, qui faisait gémir de plus en plus la soumise, ce qui m'excite encore plus et me fais encore plus durcir ma pine, je pointe mon gland turgescent a l’entrée de son garage a bite. Comme désiré par Maitresse Héra je m’enfonce doucement dans la chatte ruisselante. La soumise lâcha un long gémissement en sentant ma bite épaisse lui dilater le conduit a bonheur.

    Puis j’attendis que Maitresse Hera me donne l’ordre de pistonner le vagin telle une machine.

    Alors Maitresse Hera reprend sa cravache, et à chaque fois que je ressors mon braquemart de l’antre dégoulinant, elle donne un coup sec sur le clitoris déjà gonflé et rouge de la jeune femme. La soumise lâche prise et se met à avoir plusieurs orgasme, et plusieurs fois elle réussit presque a me désarçonner pendant et que je lui ramone l’abricot.

    Alors maitresse Hera me fait ressortir, moi la queue toujours droite.

    Maitresse Hera lui enlève son bandeau, la redresse ….

    « maintenant c’est toi qui va dominer le soumis …..je te laisse faire ce que tu veux avec lui ….. »

     Les couilles dures et pleines de foutre, la bite tendue, j’attends ….maintenant je suis l’homme soumis à punir pour la jeune brunette. La jeune femme vient vers moi ; me chope mes attributs de chien, puis, elle m’écrase les couilles ……

    «  a moi » dit-elle… elle me parle a l’oreille «  pour commencer branle toi devant moi… »

    A suivre …..


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  • Cette technique touche trois organes du système de reproduction masculin ; La glande de la prostate, la vésicule séminale et le canal déférent.

    La prostate quand elle est engorgée peut être sentit par une pression du doigt au milieu du périmé (à l'arrière du scrotum). C'est une forme arrondie de la taille environ d'une grande bille.

    On peut aussi y accéder via le rectum, où il peut aussi être sentit comme une forme arrondie vers l'avant du corps et juste la longueur d'un index dans le rectum. La meilleure façon de la trouver est de mettre son majeur dans le rectum et toucher du coté de l'avant du corps, jusqu'à ce que vous sentiez une forme ronde. C'est la prostate.

    Juste à l'arrière (et au dessus) de la prostate est une forme plus petite et presque triangulaire qui correspond à la partie basse de la vésicule séminale, où est produit et stocké l'essentiel du fluide séminal qui est évacué lors de l'éjaculation. Au-dessous de la vésicule séminale ont trouve l'ampoule de conduit du canal déférent.

    Lors de l'excitation, le sperme et le liquide séminal s'accumulent dans ces glandes derrière des petites valves dans la canal d'éjaculation. Quand la pression du fluide est suffisamment importante , les valves s'ouvrent et l'urètre se remplit et il se produit un réflexe musculaire qui évacue le liquide et produit l'orgasme.

    UNMASSAGE A FROID

    Quoique ce massage soit très agréable, la plupart des hommes sont incapables d'avoir un orgasme ainsi sans une forme de stimulation du pénis.

    Quand un montant suffisant de fluide a été ainsi drainé, la pression du fluide derrière les valves n'est plus suffisante pour provoquer un réflexe d'éjaculation, et aucune stimulation du pénis aboutira à un orgasme jusqu'à ce que les glandes soient rechargées. Cela peut prendre quelques heures ou quelques jours. Cette technique peut être utilisée pour frustrer les mâles de masturbation et d'orgasme si elle est appliquée dans un intervalle approprié. Cela peut se faire un fois tout les un jours ou deux, à moins que le mâle porte une cage de chasteté.

    Les mâles encagés ont quand même besoin d'être vidés avec une périodicité allant de quelques semaines à 3 mois afin d'éviter les éjaculations nocturnes avec orgasme.

    Avec un milking régulier, un mâle pourra être privé d'orgasme pour une période arbitrairement décidée sans aucun effet négatif sur sa santé.

    La Frutration entre les vidanges

    Une façon particulièrement efficace d'accroitre la frustration sexuelle entre les milking, est de le masturber une fois par jour, chaque jour pour l'approcher de la jouissance, puis de lui remettre sa cage. Cela triple au moins l'efficacité de la frustration. Si vous faites cela, vous aurez besoin de lui faire un milking peut être plus souvent (toutes les  semaines). Après le milking recommencer le cycle. Mais vous verrez la masturbation de votre soumis est très efficace, car non seulement elle l'excitera et il deviendra plus docile, mais le frustrera encore plus.

    Quelques photos de vidanges :

     http://www.blogg.org/blog-65626-album-22669.html


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  • Le Contrat d'appartenance

    (Tiré de http://eibdsm.espace-chat.com)

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    1) Présentation

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    Le contrat est un élément très fort de la fantasmagorie de la relation dominant/soumis. Et pourtant son utilisation est bien l'expression de la difficulté de vivre une telle relation de nos jours.

    En effet les romains n'avaient nuls besoins de contrat avec leurs esclaves sur lesquels ils avaient le droit de vie ou de mort. C'est que finalement le contrat semble plutôt une démarche de la personne soumise pour y exprimer non seulement ses droits mais aussi ses désirs. C'est ainsi qu'il faut comprendre la démarche de Sacher Masoch qui ne fait rien d'autre lorsqu'il propose ainsi son contrat à sa maîtresse.

    L'image symbolique du contrat est très forte, même si sa valeur juridique reste toujours nulle. Il s'agit l'un comme l'autre de s'engager dans une relation que le contrat aura essayé de codifier. Plus la théâtralité et la cérébralité seront fortes dans la relation et plus le contrat sera précis.

    Il existe toutes sortes de contrats, certains disponibles sur Internet. Au delà de leur valeur symbolique, ils servent aussi à deux partenaires à se mettre d'accord sur le contenu et le mode de fonctionnement de leur relation. C'est important alors, puisque cela permet à chaque partenaire de savoir jusqu'où il peut aller. Ils sont très révélateurs de l'état d'esprit de la relation. On peut ainsi voir des contrats:

    - Axés sur le jeu et les pratiques sexuelles
    - Orientés vers un contrôle complet allant jusqu'au TPE (Total power Exchange). Ce sont ces contrats qui sont le plus souvent respectés à la lettre dans leur excès.
    - Des contrats théâtraux pour se faire peur avec des mots mais irréalisables pour cause familiale, professionnelle, ou tout simplement de motivation de part et d'autre.

    Néanmoins les contrats sont souvent assez courts et se résument en de longues envolées où la personne soumise remet tous ses droits pour une durée déterminée ou indéterminée à la personne dominante qui en fera bon usage.

     

     

    2)    Modèle de contrat :

     

     

     

    Maîtresse et esclave : Contrat d'esclavage

    -         
    De mon plein gré et mû par mon désir d'exprimer ma dévotion envers la femme que je vénère, je m'offre en esclavage à ma Maîtresse pour la période commençant le ___/___/_____ et se terminant selon le bon vouloir de celle-ci.
    Me considérant comme l'esclave à plein temps de ma Maîtresse durant la période ci-dessus mentionnée, je me consacrerai entièrement et totalement à satisfaire Son plaisir et Ses désirs sans hésitation ni considération pour moi-même ou pour d'autres.
    -
    - Règles générales.
    -
    L'esclave accepte d'obéir à sa Maîtresse à tous égards. Son esprit, son corps, son cœur et son temps Lui appartiennent. L'esclave accepte la responsabilité d'utiliser son mot de code si nécessaire, et se fie implicitement à sa Maîtresse pour qu'elle en respecte l'emploi. Si une situation se présente dans laquelle l'esclave doit utiliser son mot de code ou un geste convenu, sa Maîtresse évaluera la situation et déterminera la conduite appropriée.
    -
    L'esclave maintiendra son corps disponible pour sa Maîtresse à tous moments. En outre, l'esclave accepte que sa Maîtresse possède le droit de déterminer si d'autres personnes peuvent utiliser son corps et l'usage qu'ils peuvent en faire. La Maîtresse discutera tous les cas possibles à l'avance avec Son esclave afin d'être certaine que ces jeux avec d'autres personnes ne violent pas des limites établies. L'esclave manifestera son acceptation de sa disponibilité à servir en tout temps au foyer et à d'autres temps et lieux spécifiés par sa Maîtresse. L'esclave reconnaît que sa Maîtresse peut utiliser son corps ou son esprit de quelque manière que ce soit en conformité avec des paramètres de sécurités. Elle peut le blesser sans raison si ce n'est Son propre plaisir. L'esclave jouit du droit de pleurer, de hurler, de supplier mais accepte le fait que ces manifestations sincères n'affecteront pas son traitement. De plus, il accepte que sa Maîtresse, si elle se fatigue du bruit qu'il fait, la bâillonne ou prenne d'autres mesures pour le réduire au silence.
    -
    L'esclave répondra honnêtement et directement à toute question qui lui sera posée et informera spontanément sa Maîtresse de toute émotion ou sentiment qu'elle est en droit de connaître. Quoique sa Maîtresse attende de Son esclave qu'il Lui communique honnêtement et sincèrement tout ce qui peut le préoccuper, il ne devra pas interpréter cela comme une permission de se lamenter ou de se plaindre. Il formulera ses soucis d'une manière polie et respectueuse et acceptera avec élégance le jugement de sa Maîtresse à ce sujet sans la moindre plainte.
    -
    L'esclave parlera toujours de sa Maîtresse avec amour et respect. Il s'adressera à elle en tout temps en disant « Maîtresse » ou « Madame ». (voir les règles de conduite en public).
    -
    La Maîtresse a le loisir d'offrir à Son esclave des périodes de liberté pendant lesquelles il peut s'exprimer en Sa présence ouvertement et librement. Ces périodes de liberté, ne seront sanctionnées d'aucune punition. Il est cependant convenu que l'esclave continuera à s'adresser à sa Maîtresse avec amour et respect en tout temps et que tout manquement à cette règle sera puni ultérieurement.
    -
    L'esclave accepte qu'une sévère punition soit fixée pour toute infraction à l'esprit ou à la lettre de ce contrat et il supportera la correction avec reconnaissance. La forme et la durée de la punition seront fixées selon le bon plaisir de la Maîtresse et celle-ci informera clairement Son esclave quand il subit une punition. La Maîtresse sera particulièrement attentive à ne pas causer de dommages physiques qui nécessiteraient l'intervention d'une tierce personne. La Maîtresse et l'esclave admettent que chacun dans des cas extrêmes peut demander une période de liberté. Cette période de liberté durera jusqu'à ce que les deux parties conviennent que le ou les problèmes sont résolus.
    -
    Il est permis à l'esclave de s'engager dans des activités non expressément interdites par le contrat ou par décision ultérieure de la Maîtresse. Sauf indication contraire dans ce contrat, tous droits et privilèges appartiennent à la Maîtresse et elle peut les exercer comme bon Lui semble. 
    -
    - Règles de conduite en privé.
    -
    Il ne portera pas de sous-vêtements en sa présence sauf avec Sa permission. Les jours où la Maîtresse est à la maison, l'esclave portera ce qui est jugé adéquat par sa Maîtresse. Quand il se trouvera dans la même pièce que sa Maîtresse, l'esclave Lui demandera la permission avant de quitter la pièce en expliquant pourquoi et où il se rend. Pendant les repas, l'esclave servira sa Maîtresse et s'assoira à Ses pieds pendant qu'elle mange. La nourriture de l'esclave sera fournie par la Maîtresse à Sa discrétion. Quand il s'adressera à sa Maîtresse, ou quand celle-ci lui parlera, l'esclave adoptera un comportement attentif et vigilant et regardera sa Maîtresse dans les yeux sauf en cas d'instructions contraires.
    -
    - Règles de conduite en public.
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    En tout temps l'esclave se conduira d'une façon telle à ne pas attirer l'attention sur sa Maîtresse et sur lui. Il s'adressera à sa Maîtresse en l'appelant par Son nom seulement si l'usage de « Maîtresse » est non approprié. L'esclave se conduira d'une manière déférente envers sa Maîtresse en public. L'esclave pourra se vêtir mais devra obtenir l'approbation de sa Maîtresse pour tout vêtement qu‘il souhaite porter en public. Sauf stipulation contraire, l'esclave ne portera pas de petite culotte.
    -
    - Règles de conduite au travail.
    -
    Aucun article du présent contrat n'a pour dessein de nuire à la carrière professionnelle de l'esclave. La Maîtresse souhaite que Son esclave travaille durement et honnêtement et qu'il se conduise d'une manière à leur apporter à tous deux respect et honneur. Pendant ses périodes de travail, l'esclave peut répondre au téléphone et discuter affaires sans la permission explicite de sa Maîtresse.
    -
    L'Esclave devra faire, tous les 15 jours, un rapport bref sur ses activités pendant cette période, en n'oubliant pas de préciser les éventuels manquements commis, et nécessitant de ce fait une punition.
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    Par ma signature ci-dessous, je m'oblige à accepter et à obéir à toutes les règles édictées ci-devant ainsi qu'à toutes autres que ma Maîtresse choisira d'ajouter à une date ultérieure. Je confie mon corps et mon âme , avec reconnaissance, à ma Maîtresse, pour Son plaisir et Son usage pour la durée de la période par ailleurs mentionnée.
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    Esclave _____________ date ___/___/_____

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  • Par quoi commencer dresser un mâle soumis?
    De Elise Sutton

    Question

    Bonjour Elise, pouvez-vous me faire quelques suggestions pour dresser un mâle soumis ? Je sais que mon mari en a besoin et je veux que cette relation fonctionne. Merci beaucoup.

    Réponse

    Quand vous dressez un homme soumis, commencez doucement mais soyez exigeante, Commencez par une bonne vieille fessée en travers des genoux avec une brosse à cheveux. Habillez-vous sexy, séduisez-le et ordonnez-lui de se mettre nu en travers de vos cuisses. Commencez par des claques légères, alternez une claque sur chaque fesse, attendez toujours au moins 5 secondes entre chaque claque et continuez avec des claques plus fortes. Caressez ses fesses pendant et après la fessée.

    Achetez une paddle ou une cravache et entraînez-vous. Commencez toujours doucement pour augmenter progressivement la force et la sévérité. Donnez lui un " mot-clé " qu'il pourra utiliser si il a trop mal. Cela prend du temps pour l'amener à recevoir une réelle et dure punition à la cravache ou à la paddle mais plus vous l'entraînerez, plus il sera endurant

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