• Un jour  que je viens au siège de ma société, la secrétaire de direction me voyant  m'appela

    "Tiens cela tombe bien puisque je vous vois,  je vous envoie a l'infirmerie la doctoresse de la médecine du travail est la. Cela vous évitera d'y aller.

    - Mais répondis-je ...

    - Voici le papier ."

    Sur ce elle prends le téléphone et je l'entends dire : " Docteur, je vois envoie un commercial de passage au siège."

    Puis me regardant , " elle vous attends "

    Je peste en mon fort intérieur, car avec Maitresse Héra je suis obligé de porter des dessous féminins ...

    Je me demande donc comment je vais faire . J'ai été tellement pris de court que je n'ai pas réagi.

    Je me dirige donc vers l'infirmerie un peu inquiet.

    J'arrive devant la porte et frappe.

    "Entrez "

    J'entre dans le local qui a pour nom Infirmerie. C'est plutôt une pièce relativement petite carrée, avec un petit bureau, une table d'examen médicale, et une armoire a pharmacie.

    La doctoresse me regarde et me dit : "mettez vous en slip et maillot de corps."

    Je regarde ou je pourrai me déshabiller , mais pas d'endroit avec paravent . Il va falloir que je le fasse devant elle.

    Je la regarde, environ  35 ans cheveux châtains mi-longs, elle porte une blouse blanche sur un chemisier en soie  rose et une jupe courte  noire.

    Elle me regarde d'un air interrogatif et s'appuie sur le bord du bureau .

    "Alors qu'attendez-vous, vous avez pas peur de moi quand même, dit elle en souriant...

    Alors prenant mon courage a deux mains, j'enlève ma veste puis ma cravate, ensuite mes chaussures .

    Je déboutonne ma chemise et écarte les pans de celle-ci en regardant le médecin droit dans les yeux.

    Elle ouvre les yeux plus grand quand elle s'aperçoit qu'en guise de maillot de corps  je porte un caraco en dentelle .

    Je finis d'enlever ma chemise , et je m'attaque a mon pantalon que je dégrafe et fais tomber a mes pieds.

    Et la nouvelle surprise pour elle, je porte une culotte gainante a motif de dentelles aussi.

    Elle vient vers moi doucement.

    "Vous êtes homosexuel  travesti ?

    Je me jette a l'eau et lui explique:

    - Non madame, je suis soumis et ma Maitresse  m'ordonne de ne porter que des hauts de sous vêtements féminins en dentelles.  Et en bas des culotte gainantes ou des gaines .

    - Pourquoi ? me fait -elle

    Puis s'approchant encore plus près de moi elle passe sa main sur le devant de ma culotte.

     - Mais ou sont des couilles et ta bitte, tu est plate comme une fille .

     

    Elle plaque sa main un peu plus fort sur mon pubis.

    - Ah je comprends tu rentres tes testicules dans le bas ventre et tu mets ta queue en arrière pas vrai ?

    - Oui Madame..

    - Et cela t'empêche de pouvoir bander ?

    - Oui Madame...

    Elle va vers la porte et la ferme a clé, puis revient vers moi.

    Elle se place dans mon dos et se frotte a moi. Elle me pince les tétons a travers mon caraco de dentelles et en fais ainsi durcir les pointes. Je sens sa poitrine s'ecraser un peu plus dans mon dos quand ses mains descendent sur ma culotte et me caresse a travers le tissu. Je la respire, et son parfum m'enivre.

    Je sens ma queue se trémousser dans ma culotte. Mais cela est gênant car elle est prise comme dans un carcan et ne peut grossir .

    La doctoresse repasse devant moi, enlève sa blouse et déboutonne son chemisier. Ses seins en pomme sont petits et n'ont pas besoin de soutien gorge.

    Elle me prends par la nuque et m'attire le visage sur sa poitrine.

    - Tète, me fait elle d'une voix rauque. 

    Je m'exécute et me mets a la téter . Sa poitrine est ferme et élastique.

    Je sens encore plus de gêne dans ma culotte.

    Elle appuie sur les épaules et je me laisse glisser a genoux a ses pieds. Elle relève sa jupe et baisse sa culotte , puis me plaque le visage contre sa vulve. Elle est mouillée, et son odeur forte parviens a mon nez. Je grogne comme un chien. Elle écarte ses grandes lèvres et je me mets a la laper comme un chien , mordant et titillant son clitoris qui sous mes coups de langue durcit et grossir .

    Elle me redresse, et doucement me baisse ma culotte gainante. Ma queue enfin libérée se remets en position normale et  commence a frétiller.

    Mais mes couilles sont encore dans mon bas ventre . Mon sac a couilles pend  vide, dans le vide, Elle s'en saisit et tire dessus, c'est comme un grand morceau de peau inutile.  Elle appuie enfin sur mon pubis, et mes couilles sortent de leur cachettes, toutes petites et brulantes.

    " Sais -tu qu'en faisant cela tu empêches tes spermatozoïdes de vivre?

     

    Mais sans attendre la réponses elle me saisit par les testicules et le malaxes...je gémit un peu  et ma queue sous la légère douleur commence  a grossir....

    - Maso ?

    - SM Madame...

    Elle accentue encore son geste, puis me tirant par la bite qui grossit , elle me fait allonger sur la table d'examen .

    Elle se saisit de gant en latex,  place la table d'examen comme pour examiner une femme, et me fais mettre les pieds dans les étriers de la table.

     

    Mon trou du cul ma bitte  et mes couilles sont a sa merci .

     

    Soudain elle me tape la verge par des petits coups de sa main droite tandis que sa main gauche me malaxe sérieusement les testicules. La réaction ne se fait pas attendre je commence a avoir une belle érection.

    Ensuite elle me fouille le trou du cul et je commence a mouiller comme une salope . Elle entre sans problème trois doigts dans mon cul et le triture. Je grogne

     

    Puis elle  fait descendre la table au plus bas du sol  elle sort une capote et me la mets.

     

    Elle m'enfourche , et d'un mouvement brusque après avoir écarté ses petites lèvres, elle se laisse littéralement tomber sur ma queue  en s'empalant dessus.

     

    Je commence a vouloir jouer du bassin, mais elle me gifle.

     

    "Bouge pas salaud..."

     

    Prenant alors mon sexe comme un vulgaire godemiché, sans se soucier de moi, elle se fait rapidement jouir.

     

    Au moment suprême de son orgasme, elle m'enfonce les ongles dans mes cuisses, en me regardant droit dans les yeux, mais sans me voir, le regard perdu et extasié.

     

    Elle se retire, mais ma queue est toujours aussi raide.

     

    Alors elle m'enfourche a l'envers, et me pose sa chatte humide de mouille de jouissance sur mon visage.

    - Renifle moi chien, et nettoie moi cela me fait elle... et sans ménagement  elle commence a me masturber.

    Je sens ma queue durcir sous le branle assez dur de la doctoresse.

    Elle le sent aussi, et cela l'excite de nouveau, car je sens sa chatte devenir encore plus dégoulinante, et une effluve de femelle en chaleur sort de sa chatte.

    Soudain alors que j'ai ma bouche grande ouverte et collée a sa vulve, je sens des contractions de son vagin . Je pense qu'elle va jouir de nouveau...

    Mais non , et comme une cascade elle se met a me pisser dans la bouche.... Je grogne de plaisir, et j'avale son champagne doré comme un fou , de la boire et de sentir son odeur marine me lance une décharge électrique dans le bas ventre et ma queue tressaute sous  les doigts de la doctoresse, qui accentue sans ménagement son mouvement de va et vient, et dans un râle, avalant une dernière gorgée de sa pisse, je gicle dans ses mains ganté de latex.

    Je reprends mon souffle. Elle se relève, remet sa culotte...

    je me relève aussi, et je vais chercher mes affaires  pour me rhabiller.

    C'est alors qu'elle revient vers moi,

    " Tu es un bon gode...je vais te faire une petite gâterie...

    - Mais Madame je suis vide mes couilles n'ont plus rien, pensant qu'elle voulait me faire une fellation.

    - Monte a quatre patte sur la table.

    Je m'exécute. Elle me fait bien écarter le jambes, la queue molle et les couilles vides se balançant dans le vide.

    C'est alors qu'elle écarte mon cul et commence a me faire un doigte anal.

    - Ferme les yeux  et laisse toi aller.

    La doctoresse entreprends alors un massage interne enfonçant pratiquement sa main dans mon cul et masse ainsi ma prostate.

    Doucement cela me chauffe de l'intérieur,, et alors que je me croyais vidé, et surtout sans la moindre érection  de ma bite , petite , molle et rabougrie, sous un orgasme provoqué par la main du docteur, je lâche en gémissant de bonheur, de longs jets de sperme sur la table.

    Souvenir inoubliable et sensation jamais reproduite depuis, ce vidage de couilles, m'avait vraiment alors emmener le chien que je suis au septième ciel ...


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  • Il fait beau, Maitresse a décidée d'aller se promener en forêt.

    Je doit m'habiller en conséquence short et tee-shirt

    Nous partons donc en voiture...

    Nous arrivons dans un endroit pas ou peu fréquenté.

    Nous marchons dans un petit chemin pendant une vingtaine de minutes.

    Puis nous quittons le chemin pour marcher a travers bois et trouver une clairière.

    Nous y arrivons rapidement. Nous connaissons le coin.

    Un arbre abattu est notre point de chute.

    "a poil le chien" fait Maitresse.

    Rapidement je laisse tomber mon short et mon tee-shirt.

    Je m'accroupis au pied de Maitresse.

    "Va cueillir une badine"

    Je me lève et arrive devant un bosquet de noisetier, choisis une fine branche qui me parait flexible la coupe et l'effeuille.

    Je la ramène a Maitresse qui la fait siffler dans l'air et qui par un hochement de tête me fait comprendre qu'elle apprécie mon choix. Je me remets en tailleur aux pieds de Maitresse

    Alors en me regardant bien , Elle relève sa jupe et enlève son slip , s'approche de moi me tend sa culotte, que je prends .

    Je la porte a mon nez ferme les yeux et respire profondément les odeurs intimes de Maitresse. Cela me fait de l'effet. Je suis un chien a l'odorat fin et suis sensible aux odeurs. Ma queue tressaute.

    Maitresse le voit, souris ...et me donne un coup de badine sur la bite.

    "pervers tu aime cela mon odeur ?

    • Oui maitresse.
    • alors vient renifler ma vulve.

    Je me précipite, et colle mon nez sur la fente de Maitresse.

    Elle se frotte contre mon visage. Je sens qu'Elle commence a mouiller . Puis elle se recule un peu . Elle écarte les lèvres de son sexe et sans pudeur elle urine sans tenir compte de ma présence. Apres tout je ne suis que son soumis. Et on ne se gêne pas devant un soumis. C'est comme un meuble.

    Puis les affaires sérieuses commencent.

    Maitresse me fait marcher tout nu a quatre patte dans la clairière .

    Elle me suit et me fouette le cul car je n'avance pas assez vite. Les fesses me chauffent et je les sent rougir sous les coups bien placés de Maitresse.

    "Stop " je m'arrête immédiatement

    Maitresse a repéré un endroit couvert d'orties. Elle en cueille une brassée.

    Maitresse revient vers l'arbre abattu, relève sa robe, s'assoie les jambes écartées.

    Je me mets debout devant Elle jambes écartées aussi, ma queue et mes couilles a porter des orties.

    Maitresse alors commence a se caresser devant moi tout en me passant la brassée d'ortie entre les jambes.

    La morsure des orties sur mes parties génitales me font tressauter mais je ne dis pas mot.

    La douleur se transforme en chaleur et ma queue commence a grossir. Et de voir Maitresse se caresser je me met a bander encore plus.

    Maitresse alors laisse tomber les orties et se met a me branler au rythme de ses propres caresses... je gémit de bonheur car les caresses de Maitresse envers son chien rares, donc je les apprécie.

    Soudain Maitresse lâche ma queue et de mets a gémir .Maitresse est sur le point de jouir.

    Alors Elle s'approche de mon visage et plaque son sexe contre ma bouche.

    " allez chien fait moi jouir."

    Je m'exécute et commence un doux mouvement de la langue sur le clitoris durci de Maitresse.

    Maitresse halète " plus vite , plus fort Chien"

    Alors je me lâche et je lape son sexe goulument avec des grognement de chien en rut.

    Et soudain Elle jouit. Sa mouille coule dans ma bouche. Je boit a la source du plaisir de Maitresse et je n'en peut plus de bander.

    Maitresse se reprends. Elle ramasse sa culotte la remets.

    Elle me prends par le cheveux et me colle contre un arbre.

    "Allez le chien montre moi comment tu te branle contre un arbre.

    Alors j'enserre le tronc et coince ma queue contre et fais un mouvement de va et vient.

    Le tronc rugueux fait mal , mais je suis excite.

    Trouvant que cela ne vient pas assez vite elle me retire du tronc , et me prends en main et me branle sauvagement.

    En deux temps trois mouvements Maitresse me finit.

    Je pousse un grognement et lâche mon sperme qui tombe sur des feuilles mortes.

    Mais Maitresse en a récolté sur sa main. Elle me la tends.

    "Nettoie tes cochonneries"

    Je lèche les traces de mon sperme qui souillait la main de Maitresse.

    Puis je me rhabille , nous revenons a la voiture, et rentrons.

    C'était un bel après midi, Maitresse a pris du plaisir.


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  • Depuis longtemps déjà, du plus loin ou je me souvienne, j'ai eu un faible pour les femmes autoritaires envers moi. A quoi est-ce du, je n'en sais rien, ou plutôt si, je pense que ma mère et ma grand-mère paternelle y sont pour beaucoup

    Commençons par l'une des plus sévères, qui fut sans nul doute ma grand-mère paternelle, qui voulait être respectée comme il se doit.

    Je me rappelle quelle dirigeait sa maison, comme l'on dit à la baguette, et que mon grand-père la craignait aussi. C'est pour cela qu'il faisait des choses « en douce » et me disait quand j'étais présent de ne rien en dire à « mémé ». Comme je connaissais la réaction de celle-ci, et que j'adorais mon grand-père, j'étais solidaire avec lui, comme lui l'était avec moi.

    Combien de fois m'évita t-il le supplice de la fessée. Il n'en resta pas moins que je m'en pris souvent avec une baguette de noisetier, étant un enfant pas méchant, mais très turbulent n'en loupant une pour faire des bêtises. Et comme je me faisais souvent prendre, ou bien dénoncé par mes camarades de jeu, vous aurez vite compris que mes fesses on rougit assez souvent.

    C'est chez elle, que d'ailleurs j'ai une ma première véritable humiliation, devant les trois filles de sa voisine, pendant les congés scolaire que je passais chez grand-mère.

    Je devais avoir 6 ans, et les filles 8, 6 et 4 lorsque cette aventure m'arriva.

    Je ne me souviens plus des noms des 2 plus jeunes, seulement de la plus grande, Martine....mais peu importe leur noms, je les appellerais Odile et Christine.

    Donc un jour, voila t-il pas qu'il me prit de vouloir épier les trois voisines, qui devaient comme chaque soir prendre un bain dans une grande lessiveuse...a l'époque peu avait de salle de bain, et on se lavait ainsi a la campagne.

    Pourquoi les épier ? Bah je voulais connaitre l'anatomie de mes copines, mais de façon plus précise, ayant remarqué, que quant on se baignait dans la rivière, les filles avaient leur culottes mouillées qui rentraient comme dans une fente....je voulais connaitre la clé de ce mystère. Pour cela rien de mieux que de me cacher pour les surprendre pendant leur bain, ou je supposais que comme moi, elles étaient toutes nues.

    Je me mis en position. En effet, après être sois disant reparti chez ma grand-mère, je me cachait ans la grange avec une vue super sur la lessiveuse.

    Je vi les préparatifs (que je connaissais aussi)de l'eau chaude que l'on refroidit, et vis mes copines arrivées...toute les trois nues....et la je pu constaté, vraiment que les filles n'avaient pas de zizi comme moi, mais une petite fente.

    Malheureusement, je fus repérée par la plus jeune qui cria en montrant dans ma direction...aussitôt, sa mère leva la tête et me vis ...

    Je n'osais pas bougé... et en plus ma grand-mère qui me cherchai arriva sur ses entrefaites, au moment ou la mère de mes copines, me tirant par l'oreille, m'amenait dans la cour prés de la lessiveuse. Les copines avaient mis des serviettes autour d'elles pour se cacher, sauf Martine qui par moment, me montrait encore sa chatte,- terme que je ne connaissais pas alors pour designer le sexe des filles-.

    Bref, ma grand-mère compris vite la situation.

    « Et bien, dit-elle d-un air sévère, tu voulais faire quoi ??? Surprendre les filles ? Leur faire peur ???Ou bien ?? Réponds !

    - Ben je voulais voir comment sont fait les filles, réponds-dis-je sans méfiance

    - Comment cela ?

    - Ben voir si elles sont faites comme les garçons...

    - Et alors, tu a vu quoi ?

    - Ben elles ne sont pas comme moi, elles n'ont pas de zizi dis-je innocemment

    - Petit cochon me fit ma grand-mère, tu n'as pas honte ? attends je vais te montrer moi...

    Ma grand-mère m'empoigna et commença a me fesser devant les filles...j'essayai de ne pas pleurer, mais je ne pus pas résister longtemps, et me mis a sangloter...

    C'est alors qu'une idée vint à l'esprit de la mère de mes copines.

    « Eloïse (nom de ma grand-mère) j'ai une idée pour le punir.. »

    Elle vint parler a l'oreille de ma grand-mère, qui éclata de rire après l'avoir écoutée.

    « Cs déshabille toi....

    - Comment mémé ?

    - Tu m'as bien entendu mets toi tout nu...

    C'est comme si le ciel m'était tombe sur la tête.

    Connaissant ma grand-mère je n'avais pas intérêt a ne pas obéir...cela aurais été encore pire.

    Je me mis tout nu devant tout le monde, et sous les regards intéressés des copines, plus particulièrement ceux de Martine, qui arborait un sourire, que je qualifierais de vicieux.

    Je retirai ma culotte d'une main et essayai de couvrir de l'autre mon petit sexe rabougri...

    Martine s'empressa de crier : « il triche... »

    Ma grand- mère alors me mis les deux mains derrière le dos , offrant ainsi mon anatomie et ma nudité aux trois copines et a leur mère.

    Nous rentrâmes dans la cuisine de la voisine, pendant que les filles se lavaient, et je dus rester ainsi le temps de leur repas, debout, les mains dans le dos et les jambes légèrement écartées, afin d'offrir le spectacle d'un puni rouge de honte.

    Pendant tout le temps du repas, si les 2 plus jeunes se moquèrent allègrement de moi, Martine ne dit pas moi, mais je voyais ses yeux briller d'une manière bizarre, son regard allant de mon regard a mon sexe et inversement sans discontinuer, avec un sourire au coin des lèvres.

    Son attitude provoqua chez moi au début une gêne et une honte qui se transforma peu a peu en un phénomène que je ne connaissais pas, a la fois très honteux de ma position, mais heureux quelque part de cette situation, avec une sensation de chaleur au creux des reins de voir Martine m'ausculter sans vergogne de cette façon.

    Le repas prit fin :

    « Martine, dit sa mère, emmène Cs dans ta chambre ou il y a ses affaires et qu'il se rhabille ..cela suffit maintenant...j'espère que tu a eu honte et que cela te servira de leçon...

    - Oui madame fis-je en baissant la tête

    Martine me pris par la main et le conduisis a sa chambre. Elle ferma la porte derrière elle.

    Puis elle prit mon short ma culotte et mon marcel et les mis derrière son dos..

    « Allez, viens les chercher... »

    Je me dirigeai vers elle, et arrivé juste devant elle, elle me mit la main sur le sexe et retroussa la peau du gland...surpris je ne réagis pas.

    Rouge de confusion, je me laissai examiner sans rien dire...

    Martine reculotta mon gland en souriant....

    « je sens qu'on va bien jouer tout les deux.. »

    Puis avant que je lui réponde, Martine était sortit de la chambre.

    Je me rhabillais en vitesse et retournai a la cuisine...

    Ce fut la ma première humiliation, et c'est la que je sentis, devant ces 5 femmes( oui ma grand-mère, les 3 filles et leur mère)un vague désir imprécis de me retrouver encore devant une telle situation, malgré la honte que j'avais éprouvée...

     


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