• Martine , suite

    Suite a ma première honte, Martine avait promis de " jouer" avec moi . Mais le temps passa environ 3 ans . Martine allait sur ses 11ans et mois mes 9 ans .

    Et puis un beau jour ...je vis Martine et ses sœurs a la sortie , qui semblaient attendre quelque chose, ou quelqu'un...

    A l'époque , si les heures de classe étaient les mêmes pour tous, il y avait l'école des filles et l'école des garçons. La mixité existait pas.

    Martine , ses sœurs allaient et rentraient de l'école avec des copines et moi avec des copains, chacun de son coté .

    Il faut dire que depuis mon humiliation, je n'osais plus aller les voir.

    Martine me voyant alors m'appela... C'est moi que les filles attendaient.

    "Cs, vient ici tout de suite..."

    Sentant qu'il valait mieux que j'y aille, je me dirigeait vers Martine. Mes copains me regardèrent .

    " Tu restes pas avec nous ? On va passer par le bois du fond de Bosso pour cueillir des noisettes ?
    - Nan merci ...."

    Je filais vers les filles.

    Arrivé près d'elles, Martine me tendit son sac.
    "Tiens porte moi cela ...
    - Pourquoi ? Je suis pas ta bonne ?" Martine vint se coller contre moi et me glissa à l'oreille :
    "Tu veux pas jouer avec moi ? Je t'ai dis un jour il y a longtemps que l'on allait s'amuser tous les deux....et si tu m'écoutes et que tu m'obéis je te récompenserai ... et pis si tu veux pas c'est pareil..je dirai a ta grand-mère que tu nous a encore espionner ...."
    A ces derniers mot je compris que Martine me tenait .Je n'osais alors répliquer ...et m'emparais de son sac .

    Nous rentrâmes a la maison, les filles devant et moi derrière. Je dus m'avouer que cela me plaisait.

    J'allai chercher mon gouter et revint dehors . Martine était assise sur les marches du perron .

    "mets toi la " me fit elle en me montrant du doigt un emplacement au bas du perron. Je m'assis en tailleur et commençai a manger mon gouter.

    " cs , regarde moi ...
    - Oui
    - Je veux que tu sois mon serviteur. Tu feras tout ce que je dis ou te demande.
    - Euh mais ...
    - Pas de mais ...
    Je baissai les yeux , un peu inquiet ... et c'est la que je vis que martine qui était assise plus haut que moi avait les jambes a hauteur de ma tête.

    Quel fut pas ma stupeur de voir qu'elle fermait et ouvrait ses cuisses dans un mouvement régulier, et que de ma position je voyais sous sa jupe et sa culotte de coton blanc.

    Un phénomène se reproduisit en moi , une espèce de chaleur m'envahit, je me sentis rougir, mais ne pouvais détacher mes yeux de cet endroit secret que Martine dévoilait.

    Martine s'en aperçut.

    " t'es tout rouge ? t'es pas bien ?
    -non cela va " dis-je avec difficulté.

    Puis Martine vit ou allait mon regard .

    " Cochon mais tu regarde sous mes jupes ?" et en même temps elle remonta sa jupe un peu plus et resta les cuisses ouvertes . Ses yeux brillaient et elle souriait...
    Cette vue me fis avoir une réaction dans ma culotte et je sentis mon zizi bouger et durcir . Cela m'arrivait quand je me réveillais le matin , mais jamais pour un truc pareil.

    Je me trémoussais car j'étais dans une position inconfortable . Me voyant bouger ainsi Martine me demanda ce que j'avais .

    " Ben rien ..
    - Si dis moi le , tu dois tout me dire et m'obéir sinon ....
    - Ben j'ai mon zizi qui gonfle .
    - Quoi ? Me fit elle
    - Ben oui il est tout raide .

    Et de lui dire me fit encore plus rougir de confusion, mais je sentais aussi mon sexe durcir encor plus.

    " Viens ici "me fit elle

    Je me levai et arrivai a sa hauteur .

    Elle regarda a l'endroit de mon sexe , puis se leva , me prit pas la main et me conduisis derrière la maison dans un recoin . Elle mit sa main sur moi . Je sentis la pression sur mon petit bout tout dur /

    " Mais c'est vrai c'est tout dur ... baisse ta culotte je veux voir .

    Honteux mais content j'obéis a Martine . Le fait d'être obliger de lui obéir m'enlève le moindre remords .

    Je baisse vivement mon short ( a l'époque pas de pantalon ,) maintenu par une ceinture elastique.

    Et ensuite mon slip " kangourou".

    Mon minuscule sexe sort alors de sa cachette et se dresse vers le ciel .

    Martine les yeux luisants s'approche et le saisi.

    "Il est vraiment tout dur " dit elle " j'avais jamais vu cela ...et c'est a cause de moi que tu est comme cela ? "
    - Oui "

    Le contact de sa main sur mon zizi me procure un immense bonheur, physique et mental.

    Martine me caresse, et presque instinctivement se met a me masturber.

    Je frémis un peu et plie des jambes .

    " Ben mon salaud tu a l'air d'aimer cela "

    Martine alors se penche pour voir de plus près ma bite.

    Elle aussi est rouge d'excitation . Je la vois alors glisser une main sous ses jupes. Je ne sais ce qu'elle fait, mais la sort , la porte a son nez et la respire , puis me la mets sous mon nez ...

    "sent " me fait elle en me mettant sa main sous le nez. Une drôle d'odeur s'en dégage. Je hume et m'aperçois que j'aime cette odeur . Je lui saisi la main pour la lécher. d'un geste brusque elle la retire et me mets une claque. Et comble de l'horreur , je m'aperçois que j'ai apprécié sa baffe .

    " Vraiment pire qu'un cochon, tu renifle comme un chien ..tiens je vais t'appeler mon chien ...Tiens viens renifler la " et joignant le geste a la parole , elle me fait mettre a genoux, soulève sa jupe et pousse ma tête contre sa fente a travers le tissu de sa culotte en coton . Une odeur forte de marée s'en dégage et je ferme les yeux pour savourer davantage l'odeur un peu épicée.

    - Martine ou est tu ?

    Sa mère la cherche, Martine me repousse violement , rabat sa jupe et part en courant .

    Je reste la comme un idiot, mon short et mon slip baissés et mon zizi encore tout tendu vers le ciel . Je relève machinalement la tête et vois a la fenêtre de l'étage une des sœurs de Martine qui se moque de moi ouvertement . Je baisse la tête
    Je remonte mon short et court vite chez ma grand-mère .
    Le soir dans mon lit je ne peu m'empêcher de repenser a cela, et du coup ma bite a ce souvenir durcit et se redresse sous les draps.

    Et la je me touche sans vraiment savoir et sans vraiment me masturber, le plaisir étant surtout mental ...


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