• Vêtue d'un corset noir, enserrant sa taille et rehaussant ses seins,

    L'échancrure laissant voir le sillon tendre de sa chair blanche

    Sa longue jupe cachant a peine le galbé de ses hanches

    Elle est ma sublime divination que ma soumission étreins.

     

    Elle a tous les droits sur ma vie et mon corps ,et mon esprit

    Elle sait que rien ne pourra entraver ma soumission

    Elle est le soleil noir de ma vie , la muse dont je suis éprit,

    Elle est ma divine domina , elle est sans concession

     

    A ses pieds elle peut me faire ramper, nu et tremblant,

    A ses pieds elle peut m'ordonner et me commander

    Je ne fuirait pas sa cruelle passion par de faux-semblant

    j'essayerai de la combler ,sans me faire réprimander

     

    Elle est ma Maitresse, et je suis son Esclave a jamais

    Hautaine et magnifique, elle est la Femme éternelle

    Qui sait me mettre a ses bottes et sous le harnais

    Invisible de sa supériorité , ma soumission charnelle

     

    Elle est ma Princesse Gothique qui depuis la nuit des temps

    Nourrit mes rêves, et m'asservit de ses désirs

    Aspirant, rêvant et jouissant de ses commandements

    Tel un chien docile a son désir , pour son unique plaisir

     

     

     


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  • Depuis longtemps déjà, du plus loin ou je me souvienne, j'ai eu un faible pour les femmes autoritaires envers moi. A quoi est-ce du, je n'en sais rien, ou plutôt si, je pense que ma mère et ma grand-mère paternelle y sont pour beaucoup

    Commençons par l'une des plus sévères, qui fut sans nul doute ma grand-mère paternelle, qui voulait être respectée comme il se doit.

    Je me rappelle quelle dirigeait sa maison, comme l'on dit à la baguette, et que mon grand-père la craignait aussi. C'est pour cela qu'il faisait des choses « en douce » et me disait quand j'étais présent de ne rien en dire à « mémé ». Comme je connaissais la réaction de celle-ci, et que j'adorais mon grand-père, j'étais solidaire avec lui, comme lui l'était avec moi.

    Combien de fois m'évita t-il le supplice de la fessée. Il n'en resta pas moins que je m'en pris souvent avec une baguette de noisetier, étant un enfant pas méchant, mais très turbulent n'en loupant une pour faire des bêtises. Et comme je me faisais souvent prendre, ou bien dénoncé par mes camarades de jeu, vous aurez vite compris que mes fesses on rougit assez souvent.

    C'est chez elle, que d'ailleurs j'ai une ma première véritable humiliation, devant les trois filles de sa voisine, pendant les congés scolaire que je passais chez grand-mère.

    Je devais avoir 6 ans, et les filles 8, 6 et 4 lorsque cette aventure m'arriva.

    Je ne me souviens plus des noms des 2 plus jeunes, seulement de la plus grande, Martine....mais peu importe leur noms, je les appellerais Odile et Christine.

    Donc un jour, voila t-il pas qu'il me prit de vouloir épier les trois voisines, qui devaient comme chaque soir prendre un bain dans une grande lessiveuse...a l'époque peu avait de salle de bain, et on se lavait ainsi a la campagne.

    Pourquoi les épier ? Bah je voulais connaitre l'anatomie de mes copines, mais de façon plus précise, ayant remarqué, que quant on se baignait dans la rivière, les filles avaient leur culottes mouillées qui rentraient comme dans une fente....je voulais connaitre la clé de ce mystère. Pour cela rien de mieux que de me cacher pour les surprendre pendant leur bain, ou je supposais que comme moi, elles étaient toutes nues.

    Je me mis en position. En effet, après être sois disant reparti chez ma grand-mère, je me cachait ans la grange avec une vue super sur la lessiveuse.

    Je vi les préparatifs (que je connaissais aussi)de l'eau chaude que l'on refroidit, et vis mes copines arrivées...toute les trois nues....et la je pu constaté, vraiment que les filles n'avaient pas de zizi comme moi, mais une petite fente.

    Malheureusement, je fus repérée par la plus jeune qui cria en montrant dans ma direction...aussitôt, sa mère leva la tête et me vis ...

    Je n'osais pas bougé... et en plus ma grand-mère qui me cherchai arriva sur ses entrefaites, au moment ou la mère de mes copines, me tirant par l'oreille, m'amenait dans la cour prés de la lessiveuse. Les copines avaient mis des serviettes autour d'elles pour se cacher, sauf Martine qui par moment, me montrait encore sa chatte,- terme que je ne connaissais pas alors pour designer le sexe des filles-.

    Bref, ma grand-mère compris vite la situation.

    « Et bien, dit-elle d-un air sévère, tu voulais faire quoi ??? Surprendre les filles ? Leur faire peur ???Ou bien ?? Réponds !

    - Ben je voulais voir comment sont fait les filles, réponds-dis-je sans méfiance

    - Comment cela ?

    - Ben voir si elles sont faites comme les garçons...

    - Et alors, tu a vu quoi ?

    - Ben elles ne sont pas comme moi, elles n'ont pas de zizi dis-je innocemment

    - Petit cochon me fit ma grand-mère, tu n'as pas honte ? attends je vais te montrer moi...

    Ma grand-mère m'empoigna et commença a me fesser devant les filles...j'essayai de ne pas pleurer, mais je ne pus pas résister longtemps, et me mis a sangloter...

    C'est alors qu'une idée vint à l'esprit de la mère de mes copines.

    « Eloïse (nom de ma grand-mère) j'ai une idée pour le punir.. »

    Elle vint parler a l'oreille de ma grand-mère, qui éclata de rire après l'avoir écoutée.

    « Cs déshabille toi....

    - Comment mémé ?

    - Tu m'as bien entendu mets toi tout nu...

    C'est comme si le ciel m'était tombe sur la tête.

    Connaissant ma grand-mère je n'avais pas intérêt a ne pas obéir...cela aurais été encore pire.

    Je me mis tout nu devant tout le monde, et sous les regards intéressés des copines, plus particulièrement ceux de Martine, qui arborait un sourire, que je qualifierais de vicieux.

    Je retirai ma culotte d'une main et essayai de couvrir de l'autre mon petit sexe rabougri...

    Martine s'empressa de crier : « il triche... »

    Ma grand- mère alors me mis les deux mains derrière le dos , offrant ainsi mon anatomie et ma nudité aux trois copines et a leur mère.

    Nous rentrâmes dans la cuisine de la voisine, pendant que les filles se lavaient, et je dus rester ainsi le temps de leur repas, debout, les mains dans le dos et les jambes légèrement écartées, afin d'offrir le spectacle d'un puni rouge de honte.

    Pendant tout le temps du repas, si les 2 plus jeunes se moquèrent allègrement de moi, Martine ne dit pas moi, mais je voyais ses yeux briller d'une manière bizarre, son regard allant de mon regard a mon sexe et inversement sans discontinuer, avec un sourire au coin des lèvres.

    Son attitude provoqua chez moi au début une gêne et une honte qui se transforma peu a peu en un phénomène que je ne connaissais pas, a la fois très honteux de ma position, mais heureux quelque part de cette situation, avec une sensation de chaleur au creux des reins de voir Martine m'ausculter sans vergogne de cette façon.

    Le repas prit fin :

    « Martine, dit sa mère, emmène Cs dans ta chambre ou il y a ses affaires et qu'il se rhabille ..cela suffit maintenant...j'espère que tu a eu honte et que cela te servira de leçon...

    - Oui madame fis-je en baissant la tête

    Martine me pris par la main et le conduisis a sa chambre. Elle ferma la porte derrière elle.

    Puis elle prit mon short ma culotte et mon marcel et les mis derrière son dos..

    « Allez, viens les chercher... »

    Je me dirigeai vers elle, et arrivé juste devant elle, elle me mit la main sur le sexe et retroussa la peau du gland...surpris je ne réagis pas.

    Rouge de confusion, je me laissai examiner sans rien dire...

    Martine reculotta mon gland en souriant....

    « je sens qu'on va bien jouer tout les deux.. »

    Puis avant que je lui réponde, Martine était sortit de la chambre.

    Je me rhabillais en vitesse et retournai a la cuisine...

    Ce fut la ma première humiliation, et c'est la que je sentis, devant ces 5 femmes( oui ma grand-mère, les 3 filles et leur mère)un vague désir imprécis de me retrouver encore devant une telle situation, malgré la honte que j'avais éprouvée...

     


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  • Je suis ainsi.....un homme qui a déjà vécu multiples expériences sexuelles.

    Je suis ce que l'on peut appeler un "soumis" aimant être l'objet de ces Maitresses Femmes que l'on appelle aussi Dominatrice.

    J'aime me laisser aller a leur désir, pour leur plaisir, que ce soit une domination mentale ou physique.

    J'aime l'aspect de l'éducation Anglaise, mais subis aussi parfois, les jeux plus hards selon les voeux de ma Domina.

    Qu'elles aient la vingtaine, ou bien la quarantaine et plus, je sais ramper aux pieds de ces femmes autoritaires pour leur témoigner mon adoration.

    La superiorité de la Femme n'est plus a prouver, et je sais tenir ma place.

    Je ne suis rien qu'un objet, sexuel ou non entre les mains expertes d'une Domina confirmée ou d'une Dominatrice débutante.

    Le principal étant qu'elle prenne du plaisir a faire de moi "sa chose" .

    Ordonnez Mademoiselle ou Madame, et je vous obéirai.

     

     

     


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