• Ma première honte...

    Depuis longtemps déjà, du plus loin ou je me souvienne, j'ai eu un faible pour les femmes autoritaires envers moi. A quoi est-ce du, je n'en sais rien, ou plutôt si, je pense que ma mère et ma grand-mère paternelle y sont pour beaucoup

    Commençons par l'une des plus sévères, qui fut sans nul doute ma grand-mère paternelle, qui voulait être respectée comme il se doit.

    Je me rappelle quelle dirigeait sa maison, comme l'on dit à la baguette, et que mon grand-père la craignait aussi. C'est pour cela qu'il faisait des choses « en douce » et me disait quand j'étais présent de ne rien en dire à « mémé ». Comme je connaissais la réaction de celle-ci, et que j'adorais mon grand-père, j'étais solidaire avec lui, comme lui l'était avec moi.

    Combien de fois m'évita t-il le supplice de la fessée. Il n'en resta pas moins que je m'en pris souvent avec une baguette de noisetier, étant un enfant pas méchant, mais très turbulent n'en loupant une pour faire des bêtises. Et comme je me faisais souvent prendre, ou bien dénoncé par mes camarades de jeu, vous aurez vite compris que mes fesses on rougit assez souvent.

    C'est chez elle, que d'ailleurs j'ai une ma première véritable humiliation, devant les trois filles de sa voisine, pendant les congés scolaire que je passais chez grand-mère.

    Je devais avoir 6 ans, et les filles 8, 6 et 4 lorsque cette aventure m'arriva.

    Je ne me souviens plus des noms des 2 plus jeunes, seulement de la plus grande, Martine....mais peu importe leur noms, je les appellerais Odile et Christine.

    Donc un jour, voila t-il pas qu'il me prit de vouloir épier les trois voisines, qui devaient comme chaque soir prendre un bain dans une grande lessiveuse...a l'époque peu avait de salle de bain, et on se lavait ainsi a la campagne.

    Pourquoi les épier ? Bah je voulais connaitre l'anatomie de mes copines, mais de façon plus précise, ayant remarqué, que quant on se baignait dans la rivière, les filles avaient leur culottes mouillées qui rentraient comme dans une fente....je voulais connaitre la clé de ce mystère. Pour cela rien de mieux que de me cacher pour les surprendre pendant leur bain, ou je supposais que comme moi, elles étaient toutes nues.

    Je me mis en position. En effet, après être sois disant reparti chez ma grand-mère, je me cachait ans la grange avec une vue super sur la lessiveuse.

    Je vi les préparatifs (que je connaissais aussi)de l'eau chaude que l'on refroidit, et vis mes copines arrivées...toute les trois nues....et la je pu constaté, vraiment que les filles n'avaient pas de zizi comme moi, mais une petite fente.

    Malheureusement, je fus repérée par la plus jeune qui cria en montrant dans ma direction...aussitôt, sa mère leva la tête et me vis ...

    Je n'osais pas bougé... et en plus ma grand-mère qui me cherchai arriva sur ses entrefaites, au moment ou la mère de mes copines, me tirant par l'oreille, m'amenait dans la cour prés de la lessiveuse. Les copines avaient mis des serviettes autour d'elles pour se cacher, sauf Martine qui par moment, me montrait encore sa chatte,- terme que je ne connaissais pas alors pour designer le sexe des filles-.

    Bref, ma grand-mère compris vite la situation.

    « Et bien, dit-elle d-un air sévère, tu voulais faire quoi ??? Surprendre les filles ? Leur faire peur ???Ou bien ?? Réponds !

    - Ben je voulais voir comment sont fait les filles, réponds-dis-je sans méfiance

    - Comment cela ?

    - Ben voir si elles sont faites comme les garçons...

    - Et alors, tu a vu quoi ?

    - Ben elles ne sont pas comme moi, elles n'ont pas de zizi dis-je innocemment

    - Petit cochon me fit ma grand-mère, tu n'as pas honte ? attends je vais te montrer moi...

    Ma grand-mère m'empoigna et commença a me fesser devant les filles...j'essayai de ne pas pleurer, mais je ne pus pas résister longtemps, et me mis a sangloter...

    C'est alors qu'une idée vint à l'esprit de la mère de mes copines.

    « Eloïse (nom de ma grand-mère) j'ai une idée pour le punir.. »

    Elle vint parler a l'oreille de ma grand-mère, qui éclata de rire après l'avoir écoutée.

    « Cs déshabille toi....

    - Comment mémé ?

    - Tu m'as bien entendu mets toi tout nu...

    C'est comme si le ciel m'était tombe sur la tête.

    Connaissant ma grand-mère je n'avais pas intérêt a ne pas obéir...cela aurais été encore pire.

    Je me mis tout nu devant tout le monde, et sous les regards intéressés des copines, plus particulièrement ceux de Martine, qui arborait un sourire, que je qualifierais de vicieux.

    Je retirai ma culotte d'une main et essayai de couvrir de l'autre mon petit sexe rabougri...

    Martine s'empressa de crier : « il triche... »

    Ma grand- mère alors me mis les deux mains derrière le dos , offrant ainsi mon anatomie et ma nudité aux trois copines et a leur mère.

    Nous rentrâmes dans la cuisine de la voisine, pendant que les filles se lavaient, et je dus rester ainsi le temps de leur repas, debout, les mains dans le dos et les jambes légèrement écartées, afin d'offrir le spectacle d'un puni rouge de honte.

    Pendant tout le temps du repas, si les 2 plus jeunes se moquèrent allègrement de moi, Martine ne dit pas moi, mais je voyais ses yeux briller d'une manière bizarre, son regard allant de mon regard a mon sexe et inversement sans discontinuer, avec un sourire au coin des lèvres.

    Son attitude provoqua chez moi au début une gêne et une honte qui se transforma peu a peu en un phénomène que je ne connaissais pas, a la fois très honteux de ma position, mais heureux quelque part de cette situation, avec une sensation de chaleur au creux des reins de voir Martine m'ausculter sans vergogne de cette façon.

    Le repas prit fin :

    « Martine, dit sa mère, emmène Cs dans ta chambre ou il y a ses affaires et qu'il se rhabille ..cela suffit maintenant...j'espère que tu a eu honte et que cela te servira de leçon...

    - Oui madame fis-je en baissant la tête

    Martine me pris par la main et le conduisis a sa chambre. Elle ferma la porte derrière elle.

    Puis elle prit mon short ma culotte et mon marcel et les mis derrière son dos..

    « Allez, viens les chercher... »

    Je me dirigeai vers elle, et arrivé juste devant elle, elle me mit la main sur le sexe et retroussa la peau du gland...surpris je ne réagis pas.

    Rouge de confusion, je me laissai examiner sans rien dire...

    Martine reculotta mon gland en souriant....

    « je sens qu'on va bien jouer tout les deux.. »

    Puis avant que je lui réponde, Martine était sortit de la chambre.

    Je me rhabillais en vitesse et retournai a la cuisine...

    Ce fut la ma première humiliation, et c'est la que je sentis, devant ces 5 femmes( oui ma grand-mère, les 3 filles et leur mère)un vague désir imprécis de me retrouver encore devant une telle situation, malgré la honte que j'avais éprouvée...

     

    « Je suis ainsi...Princesse Gothique »

  • Commentaires

    1
    Philippe
    Lundi 30 Juillet 2007 à 14:28
    La première honte
    J'ai reçu à l'école de bonnes fessées par des institutrices parfois aussi institeur. Cela faisait mal je n'éprouvais aucun plaisir, mais vers l'age de 13ans j'avais très envie de recevoir la fessée déculotté administrée par une institutrice. J'en ai écrit des lettres à des femmes avec qui j'aurais aimé recevoir la fessée. A l'age de 17ans une nouvelle lettre donnée pendant une récréation à une petite fille pour qu'elle le donne à une jolie instit qui surveillait les enfants a provoqué la plus grande honte de ma vie, maintenant c'est très drôle, mais à 17ans....L'enfant a remis la lettre à l'institutrice qui à ma grande déception ne la pas lue tout de suite mais mise dans sa poche. J'avais demandé la fessée à cette jeune femme et elle devait me répondre par une lettre déposée dans une cabine téléphonique. J'ai été plusieurs fois voir dans cette cabine et je n'ai rien trouvé évidemment. Un jour la petite fille a qui j'avais donné la lettre m'a reconnu et dit à l'institutrice qui j'étais. Je n'avais rien remarqué. J'allais souvvent voir cette jeune femme sans se maire remarqué et la nuit venue dans mon lit je m'imaginais sur ses genoux fesses à l'air recevant une bonne fessée. Je me suis retrouvé un jour face à cette jeune femme en marchant dans la rue. J'avais le coeur qui battait et je pensais passer à côté d'elle ans la regarder. Elle m'a abordé en me disant sèchement si j'avais une autre lettre pour elle. J'étais rouge de honte. Elle m'a demandé assez fort pour que les passants entendent si je voulais recevoir une fessée devant tout le monde. Je suis partit à toute vitesse sans demander mon reste. Cette JF a du bien rire et je n'ai jamais été fessé par elle, dommage.
    2
    MValérian
    Mardi 25 Septembre 2007 à 18:18
    La suite
    Bon il faudrait que Shana te cravaches un peu le cul pour que tu ecrives la suite de tes souvenirs ( et nous montre les photos de ton cul rougit. :)
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