• Séance ce soir...pas de cinéma ....quoique, dans ma tête je me fait un peu de cinéma .

    Maitresse Héra doit me " prêter" pour un cours d'apprentissage de cravache pour une jeune Domina, qui n'a pas encore l'art et la manière.

    Comment sera-t-elle ? Autant une séance de cravache me fait bander et jouir, lorsqu'elle est bien menée, autant elle peut se révéler une véritable torture ....pratiquée par une novice....

    Mais une Domina doit bien apprendre, et je suis a leur disposition, sous l'œil de ma Maitresse.

    La manière de cravacher un soumis est un art..

    Pour le soumis, jouir dans la souffrance inconsciente qu'il recherche, par et pour le bon plaisir de sa Maitresse, se laisser aller sans réflexion intellectuelle .

    Et pour celle-ci, jouissance cérébrale et physique d'asseoir sa suprématie et son ascendant sur lui par le petit bout de cuir de sa cravache.

    Raffinement suprême de cravacher et de laisser sa marque sur la peau rougit et chauffée a blanc de son soumis afin que celui-ci se souvienne encore et encore que cet acte est nécessaire a son équilibre et son bien être.

    Monter degré après degré dans un monde intérieur qui me permet de rechercher et de savourer la douleur physique alliée au plaisir mental d'être entre les mains et au pouvoir de sa Domina pour arriver a une jouissance totale.

    Je me prépare....je dois être impeccable pour ne pas faire honte a ma Maitresse.

    Je prends ma douche, me rase, vérifie que mes partie génitales sont bien glabre, et bien lisse sans un poil oublié.

    Je me rends dans ma chambre ou Maitresse Héra a mis sur le lit les affaires que je dois porter.

    Pantalon noir, et chemisette blanche . Et en dessous, culotte en dentelle noir, porte jarretelles noir et bas noir...

    Je m'habille rapidement, je ne veux pas faire attendre Maitresse Héra ...

    Je l'attends assis sur le lit.

    Elle a finit de se préparer. Elle vient me chercher.

    Elle est ravissante , vêtue d'un tailleur très classique qui rehausse sa hautaine allure.

    Dans un petit sac de voyage elle glisse un jeu de cravache, mon collier et ma laisse.

    Nous partons.

    Au bout d'une demi heure de route nous arrivons chez une jeune femme que ma maitresse connait et qui veut "dresser" son petit ami pour qu'il devienne docile....et manier la cravache étant une de ses aspiration, quand elle a su que mon épouse était une Maitresse femme, elle lui a demandé de lui servir de professeur.

    C'est la première leçon.

    Maitresse sonne , et la porte s'ouvre sur un charmante jeune femme d'une trentaine d'années.

    La porte se referme sur nous.

    Elle est habillée très sexy en minijupe en cuir, cuissardes et blouson largement échancrée laissant entre apercevoir sa poitrine. Je baisse vite le regard pour ne pas me faire engueulé par Maitresse.

    J'ai appris a regardé a la dérobée, afin de profiter du spectacle que je peux voir.

    Maitresse ouvre le sac et me jette mon collier par terre....aussitôt, je me mets a quatre pattes pour le ramasser, et le mettre...j'en profite pour baiser les chaussures de la jeune Miss et glisser un regard sous sa jupe....elle a des bas noirs, et ne porte pas de culotte...cette vue me trouble et je sens mon sexe gonfler un peu ....

    " A poil le Chien" me fait ma Maitresse.

    Je m'exécute.

    Vite fait j'enlève pantalon chaussette et chemise, me retrouve en culotte et porte jarretelles...et je me remets aux pieds de ma Maitresse qui m'attache par la laisse.

    Nous suivons Miss dans son salon.

    Maitresse Héra et Miss s'assoient dans le canapé et commencent a papoter.

    Je suis a genoux en face d'elle... je jette des regards en douce ...

    Miss faisant ,mine de rien, crisser ses bas , entrouvre ses cuisses, ce qui me permet de voir vue ma position une belle vue dans son entrejambe. Je constate qu'elle est entièrement rasée ou épilée...

    Soudain, Maitresse Héra capte mon regard....

    "Mais ce pervers regarde sous votre jupe ...."

    Aie je sais que le motif pour la punition et me cravacher vient d'être tout trouver...


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  • Le Contrat d'appartenance

    (Tiré de http://eibdsm.espace-chat.com)

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    1) Présentation

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    Le contrat est un élément très fort de la fantasmagorie de la relation dominant/soumis. Et pourtant son utilisation est bien l'expression de la difficulté de vivre une telle relation de nos jours.

    En effet les romains n'avaient nuls besoins de contrat avec leurs esclaves sur lesquels ils avaient le droit de vie ou de mort. C'est que finalement le contrat semble plutôt une démarche de la personne soumise pour y exprimer non seulement ses droits mais aussi ses désirs. C'est ainsi qu'il faut comprendre la démarche de Sacher Masoch qui ne fait rien d'autre lorsqu'il propose ainsi son contrat à sa maîtresse.

    L'image symbolique du contrat est très forte, même si sa valeur juridique reste toujours nulle. Il s'agit l'un comme l'autre de s'engager dans une relation que le contrat aura essayé de codifier. Plus la théâtralité et la cérébralité seront fortes dans la relation et plus le contrat sera précis.

    Il existe toutes sortes de contrats, certains disponibles sur Internet. Au delà de leur valeur symbolique, ils servent aussi à deux partenaires à se mettre d'accord sur le contenu et le mode de fonctionnement de leur relation. C'est important alors, puisque cela permet à chaque partenaire de savoir jusqu'où il peut aller. Ils sont très révélateurs de l'état d'esprit de la relation. On peut ainsi voir des contrats:

    - Axés sur le jeu et les pratiques sexuelles
    - Orientés vers un contrôle complet allant jusqu'au TPE (Total power Exchange). Ce sont ces contrats qui sont le plus souvent respectés à la lettre dans leur excès.
    - Des contrats théâtraux pour se faire peur avec des mots mais irréalisables pour cause familiale, professionnelle, ou tout simplement de motivation de part et d'autre.

    Néanmoins les contrats sont souvent assez courts et se résument en de longues envolées où la personne soumise remet tous ses droits pour une durée déterminée ou indéterminée à la personne dominante qui en fera bon usage.

     

     

    2)    Modèle de contrat :

     

     

     

    Maîtresse et esclave : Contrat d'esclavage

    -         
    De mon plein gré et mû par mon désir d'exprimer ma dévotion envers la femme que je vénère, je m'offre en esclavage à ma Maîtresse pour la période commençant le ___/___/_____ et se terminant selon le bon vouloir de celle-ci.
    Me considérant comme l'esclave à plein temps de ma Maîtresse durant la période ci-dessus mentionnée, je me consacrerai entièrement et totalement à satisfaire Son plaisir et Ses désirs sans hésitation ni considération pour moi-même ou pour d'autres.
    -
    - Règles générales.
    -
    L'esclave accepte d'obéir à sa Maîtresse à tous égards. Son esprit, son corps, son cœur et son temps Lui appartiennent. L'esclave accepte la responsabilité d'utiliser son mot de code si nécessaire, et se fie implicitement à sa Maîtresse pour qu'elle en respecte l'emploi. Si une situation se présente dans laquelle l'esclave doit utiliser son mot de code ou un geste convenu, sa Maîtresse évaluera la situation et déterminera la conduite appropriée.
    -
    L'esclave maintiendra son corps disponible pour sa Maîtresse à tous moments. En outre, l'esclave accepte que sa Maîtresse possède le droit de déterminer si d'autres personnes peuvent utiliser son corps et l'usage qu'ils peuvent en faire. La Maîtresse discutera tous les cas possibles à l'avance avec Son esclave afin d'être certaine que ces jeux avec d'autres personnes ne violent pas des limites établies. L'esclave manifestera son acceptation de sa disponibilité à servir en tout temps au foyer et à d'autres temps et lieux spécifiés par sa Maîtresse. L'esclave reconnaît que sa Maîtresse peut utiliser son corps ou son esprit de quelque manière que ce soit en conformité avec des paramètres de sécurités. Elle peut le blesser sans raison si ce n'est Son propre plaisir. L'esclave jouit du droit de pleurer, de hurler, de supplier mais accepte le fait que ces manifestations sincères n'affecteront pas son traitement. De plus, il accepte que sa Maîtresse, si elle se fatigue du bruit qu'il fait, la bâillonne ou prenne d'autres mesures pour le réduire au silence.
    -
    L'esclave répondra honnêtement et directement à toute question qui lui sera posée et informera spontanément sa Maîtresse de toute émotion ou sentiment qu'elle est en droit de connaître. Quoique sa Maîtresse attende de Son esclave qu'il Lui communique honnêtement et sincèrement tout ce qui peut le préoccuper, il ne devra pas interpréter cela comme une permission de se lamenter ou de se plaindre. Il formulera ses soucis d'une manière polie et respectueuse et acceptera avec élégance le jugement de sa Maîtresse à ce sujet sans la moindre plainte.
    -
    L'esclave parlera toujours de sa Maîtresse avec amour et respect. Il s'adressera à elle en tout temps en disant « Maîtresse » ou « Madame ». (voir les règles de conduite en public).
    -
    La Maîtresse a le loisir d'offrir à Son esclave des périodes de liberté pendant lesquelles il peut s'exprimer en Sa présence ouvertement et librement. Ces périodes de liberté, ne seront sanctionnées d'aucune punition. Il est cependant convenu que l'esclave continuera à s'adresser à sa Maîtresse avec amour et respect en tout temps et que tout manquement à cette règle sera puni ultérieurement.
    -
    L'esclave accepte qu'une sévère punition soit fixée pour toute infraction à l'esprit ou à la lettre de ce contrat et il supportera la correction avec reconnaissance. La forme et la durée de la punition seront fixées selon le bon plaisir de la Maîtresse et celle-ci informera clairement Son esclave quand il subit une punition. La Maîtresse sera particulièrement attentive à ne pas causer de dommages physiques qui nécessiteraient l'intervention d'une tierce personne. La Maîtresse et l'esclave admettent que chacun dans des cas extrêmes peut demander une période de liberté. Cette période de liberté durera jusqu'à ce que les deux parties conviennent que le ou les problèmes sont résolus.
    -
    Il est permis à l'esclave de s'engager dans des activités non expressément interdites par le contrat ou par décision ultérieure de la Maîtresse. Sauf indication contraire dans ce contrat, tous droits et privilèges appartiennent à la Maîtresse et elle peut les exercer comme bon Lui semble. 
    -
    - Règles de conduite en privé.
    -
    Il ne portera pas de sous-vêtements en sa présence sauf avec Sa permission. Les jours où la Maîtresse est à la maison, l'esclave portera ce qui est jugé adéquat par sa Maîtresse. Quand il se trouvera dans la même pièce que sa Maîtresse, l'esclave Lui demandera la permission avant de quitter la pièce en expliquant pourquoi et où il se rend. Pendant les repas, l'esclave servira sa Maîtresse et s'assoira à Ses pieds pendant qu'elle mange. La nourriture de l'esclave sera fournie par la Maîtresse à Sa discrétion. Quand il s'adressera à sa Maîtresse, ou quand celle-ci lui parlera, l'esclave adoptera un comportement attentif et vigilant et regardera sa Maîtresse dans les yeux sauf en cas d'instructions contraires.
    -
    - Règles de conduite en public.
    -
    En tout temps l'esclave se conduira d'une façon telle à ne pas attirer l'attention sur sa Maîtresse et sur lui. Il s'adressera à sa Maîtresse en l'appelant par Son nom seulement si l'usage de « Maîtresse » est non approprié. L'esclave se conduira d'une manière déférente envers sa Maîtresse en public. L'esclave pourra se vêtir mais devra obtenir l'approbation de sa Maîtresse pour tout vêtement qu‘il souhaite porter en public. Sauf stipulation contraire, l'esclave ne portera pas de petite culotte.
    -
    - Règles de conduite au travail.
    -
    Aucun article du présent contrat n'a pour dessein de nuire à la carrière professionnelle de l'esclave. La Maîtresse souhaite que Son esclave travaille durement et honnêtement et qu'il se conduise d'une manière à leur apporter à tous deux respect et honneur. Pendant ses périodes de travail, l'esclave peut répondre au téléphone et discuter affaires sans la permission explicite de sa Maîtresse.
    -
    L'Esclave devra faire, tous les 15 jours, un rapport bref sur ses activités pendant cette période, en n'oubliant pas de préciser les éventuels manquements commis, et nécessitant de ce fait une punition.
    -
    Par ma signature ci-dessous, je m'oblige à accepter et à obéir à toutes les règles édictées ci-devant ainsi qu'à toutes autres que ma Maîtresse choisira d'ajouter à une date ultérieure. Je confie mon corps et mon âme , avec reconnaissance, à ma Maîtresse, pour Son plaisir et Son usage pour la durée de la période par ailleurs mentionnée.
    -
    Esclave _____________ date ___/___/_____

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  • Par quoi commencer dresser un mâle soumis?
    De Elise Sutton

    Question

    Bonjour Elise, pouvez-vous me faire quelques suggestions pour dresser un mâle soumis ? Je sais que mon mari en a besoin et je veux que cette relation fonctionne. Merci beaucoup.

    Réponse

    Quand vous dressez un homme soumis, commencez doucement mais soyez exigeante, Commencez par une bonne vieille fessée en travers des genoux avec une brosse à cheveux. Habillez-vous sexy, séduisez-le et ordonnez-lui de se mettre nu en travers de vos cuisses. Commencez par des claques légères, alternez une claque sur chaque fesse, attendez toujours au moins 5 secondes entre chaque claque et continuez avec des claques plus fortes. Caressez ses fesses pendant et après la fessée.

    Achetez une paddle ou une cravache et entraînez-vous. Commencez toujours doucement pour augmenter progressivement la force et la sévérité. Donnez lui un " mot-clé " qu'il pourra utiliser si il a trop mal. Cela prend du temps pour l'amener à recevoir une réelle et dure punition à la cravache ou à la paddle mais plus vous l'entraînerez, plus il sera endurant

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  • Les 9 Niveaux de la soumission - Théorie





    Les mots ne sont que des mots. Pourtant il est important de se mettre d'accord sur ceux ci. La communication est la base d'une relation réussie. Dans le BDSM comme dans toutes autres relations.

    Les 9 Niveaux De Soumission
    Tiré d'un livre écrit originalement en anglais, par Diane Vera, intitulé " The lesbian S/M safety manual " édité par Pat Califia de Lace/Alyson Press, Boston, 1988, réimprimer en 1990

    A l'intérieur de la culture S et M, plusieurs personnes utilisent les mots " soumis(e) " et " esclave ". pour décrire plusieurs différents concepts. Quand un(e) soumis(e) dit : " Je veux être ton esclave! " quelques fois il (elle) veut juste dire, qu'il (elle) veut être attaché(e), bâillonné(e), et fouetté(e). Plusieurs dominantes professionnelles font référence à leurs " pas si soumis que ça " client sous le terme " d'esclaves ". À l'autre extrémité, il y a des gens qui souhaitent devenir des " servants(es) " personnel, propriété(e) d'un(e) Maître(sse) , et dont l'unique but de leur existence, est d'existé pour leur Maître(sse) pour son plaisir et le servir. Entre ces deux extrêmes, il y a plusieurs nuances de " soumission ".

    Voici une reprise qui court partout, peut être peut on décider que cela en fait une référence?

    1. LE(LA) MASOCHISTE NON SOUMIS(E) OU LE(LA) FETICHISTE SENSUEL(LE) :

    Non intéressé(e) par la servitude, l'humiliation ou de " donner " le contrôle à autrui; il (elle) est intéressé(e) seulement par la douleur et/ou une sensualité plus " épicée " , toujours sous son propre contrôle et terme, pour son plaisir personnel. (Désir de recevoir seulement que des sensations corporelles et nullement intéressé(e) d'être utilisé pour servir un partenaire aux besoins " sadique ")

    2. LE(LA) PSEUDO SOUMIS(E), NON ESCLAVE :

    Non intéressé(e) de " jouer à l'esclave ", mais intéresser au autre rôle de soumission, comme les scènes de professeur d'école, infantilisme, travestisme forcé. Souvent intéressé(e) par l'humiliation, mais non de servir un(e) Maître(sse) même en jeu. Va largement décider du jeu et des règles.

    3. LE(LA) PSEUDO SOUMIS(E), ESCLAVE PAR JEU:

    Aime " jouer " à l'esclave. Aime se sentir soumis(e) et servir un(e) Maître(sse) et dans certains cas, aime être utilisé pour satisfaire son partenaire aux besoins sadiques, mais dans tout les cas, sous ses propres termes et conditions. Dicte largement le déroulement de la scène. Souvent des adeptes fétichistes comme par exemple les admirateurs de pieds (foot fetish).

    4. LE(LA) VRAI(E) SOUMIS(E), NON ESCLAVE:

    Donne le contrôle à son partenaire (d'une façon temporaire et sous certaines limites négociées). Trouve sa satisfaction dans les aspects de la soumission autre, que de servir ou d'être utilisé(e) par un(e) Maître(sse). Excité(e) par le suspense, la vulnérabilité et/ou de donner la responsabilité à son partenaire. Ne contrôle pas ou très peu la scène, excepté dans les détails larges, mais recherche son plaisir direct (contrairement d'avoir du plaisir de plaire au dominant).

    5. LE(LA) VRAI(E) SOUMIS(E), ESCLAVE PAR JEU:

    Donne le contrôle à son partenaire (d'une façon temporaire et durant certaines scènes, d'une façon brève et sous certaines limites négociées.) Trouve sa satisfaction de servir et d'être utilisé(e) par son(sa) dominant(e), mais seulement pour le plaisir, souvent érotique. Peu aimé ou non, la douleur. Si aime la douleur, l'aime d'une façon indirecte (être utilisé(e) par un(e) partenaire aux besoins sadiques et le(la) soumis(e) met peu de limites à cet aspect de la scène).

    6. ESCLAVE COURT TERME, SANS SE COMETTRE MAIS PLUS QU'UN JEU SOUMIS(E):

    Donne le contrôle à son partenaire (normalement sous certaines limites et restrictions), pour servir et être utilisé par le dominant, pour des occasions aussi bien érotiques que non érotiques, mais seulement quand le(la) soumis(e) en a envie. Peu également devenir esclave " à plein temps " mais pour une période déterminée comme par exemple plusieurs jours, mais peu décider d'arrêter quand il (elle) le veut. Peu avoir ou pas, une relation à long terme avec un(e) Maître(sse), sauf que le(la) soumis(e) a le dernier mot pour quand il(elle) va servir son Maître(sse)

    7. A TEMPS PARTIEL, CONSENSUEL MAIS VRAI(E) ESCLAVE:

    A une relation avec un(e) Maître(sse) et se considère propriété du (de la) Maître(sse) en tout temps. Veux obéir et satisfaire le(la) Maître(sse) autant dans les activités quotidiennes non érotiques qu'érotiques. Va souvent consacrer de son temps à d'autre activité tel que le travaille, mais son(sa) Maître aura le premier choix sur son temps libre.

    8. ESCLAVE A TEMPS PLEIN, CONSENSUEL:

    À part de quelques règles de base, et limite, l'esclave considère d'exister seulement pour le plaisir et le bien-être du(de la) dominant(e). Par contre, l'esclave va exiger d'être considéré(e) comme la plus grande possession de son(sa) dominant(e). Sa situation étant pas très différente de la situation traditionnelle de la femme au foyer, excepté que dans la philosophie S et M, sa position est consensuelle. Ce qui est encore plus vrai, si l'esclave est mâle. À l'intérieur de la philosophie S et M, un esclave va entrer dans une relation avec un(e) dominant(e), après avoir considéré(e) avec soin cette relation, à cause de la magnitude du don de soi, et du pouvoir donner au dominant(e). L'esclave est aussi encore plus conscient des dangers de ce type de relation, et va y entrer après entente extrêmement claire et précise, plus encore, du type d'entente que peut précéder un mariage.

    9. ESCLAVE TOTAL(E), CONSENSUEL ET SANS LIMITES:







    Une fantaisie idéale, qui n'existe probablement pas dans la réalité. (Excepté pour certain type de religions ou sectes, ou le consentement est induis par lavement de cerveau., donc pas consensuel.) Certains puristes S et M vont dirent qu'un(e) esclave n'est pas un esclave, si il(elle) n'est pas prêt à faire N'IMPORTE quoi qui peut lui avoir été ordonné(e), par son(sa) dominant(e). L'auteur de ses lignes a rencontré des gens qui se disent esclaves sans limites, mais l'auteur a ses raisons de douter de la véracité de ces affirmations.

    2 commentaires

  • L'importance de raser le soumis

    Du site de Elise Sutton

    Question

    Vous mentionnez qu'il est commun pour une Dominatrice de raser les parties

    génitales de ses esclaves. Quelle raison à cela ? (...)

    Réponse

    Il y a plusieurs raisons de raser les parties génitales et le pubis. La première est

    que cela rend le male vulnérable. Cela lui donne l'impression d'être un

    petit garçon et procure à la Dominatrice un avantage surtout si elle pratique

    l'humiliation pour son dressage.

    Elle peut le taquiner sur le fait qu'il n'a pas les attributs ni l'air d'un homme,

    qu'il ressemble à un petit garçon et doit être traité comme tel. C'est très pratique

    pour les humiliations que l'homme ait les parties génitales rasées et lisses. Cela à

    un réel effet psychologique sur les hommes.

    Un autre avantage à garder votre homme lisse est que cela facilite l'accès à ses

    parties génitales pour les sévices sexuels ou pour utiliser une ceinture de chasteté.

    Les poils du pubis se mettent en travers et peuvent se coincer dans un cock ring,

    un ball stretcher ou une ceinture de chasteté et provoquer une douleur qui n'a rien

    d'érotique au male soumis. Un pénis, des couilles et un pubis bien lisses rendent

    les sévices sexuels plus inventifs et aussi plus érotiques. Si il porte une ceinture de

    chasteté, le garder rasé facilite l'hygiène.

    Finalement, cela envoie un signal et établi les rôles sociaux quand un homme

    est rasé.

    Beaucoup de Femmes Dominatrices gardent leur soumis rasé pour lui rappeler

    en permanence et aux autres Femmes Dominantes qui le voient qu'il est déjà la

    propriété de sa Femme Dominante ou d'une Maîtresse.

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